J’ai toujours été fasciné par la beauté des cygnes, même s’ils peuvent se montrer lourdauds lors de leurs déambulations sur terre, ils retrouvent vite leur grâce dans leur élément liquide.
(Ma première photo d'un cygne avec un APN tout simple)
Avec de la patience et un peu de chance on peut réaliser de beaux instantanés.
Je vous mets un petit montage de courtes vidéos et de photos en accéléré de cygnes s’ébrouant après leur toilette. Pour en apprécier la qualité, n'hésitez pas à regarder la vidéo en plein écran ou sur YouTube.
Les photos en accéléré ont été prises dans la station balnéaire de Zippendorf, au sud de Schwerin sur le Schweriner See lors de mon dernier séjour en mars 2015.
Je ne vous ferai pas un cours de chimie, étant loin d’en avoir les capacités, mes connaissances scolaires s’étant arrêtées à : HNO3 ou H2SO4, je vous invite à jeter un œil à ce montage vidéo (les deux si vous êtes intéressés après le début de ces « morphings ».
Non vous n’aurez pas ma liberté de décider si je continuerai à voter, (je ne dirai pas ou aller à la pêche, vu que comme pour la chasse, ça ne fait pas partie de mes loisirs) ; mais depuis des décennies on s’en prend plein la gueule après chaque élection, rien ne change,
on reprend les mêmes et l’on continue, avec la sacro-sainte devise inscrite dans leurs écharpes de député, sénateurs, maires et Tutti quanti… !
« Tout pour nous, rien pour eux… ! ».
(Caricature Na)
Mesdames et messieurs les nantis qui êtes aux affaires, commencez par donner l’exemple, arrêtez de toujours en rajouter plus dans vos privilèges, alors que les français d’en bas ils ne voient rien changer.
Les honneurs, les avantages et j’en passe il est bien difficile de s’en passer voire d’en supprimer.
Qu’en pensez-vous Mr Bartolone avec le cinéma de la salle des pas perdus et les soldats de la Garde Républicaine qui vous font une haie d’honneur chaque fois que vous allez de votre bureau à l’hémicycle… ?
Regardez Poutine, il sait se mettre à la hauteur de ses invités… !
Mesdames et messieurs les ministres, avez-vous des rhumatismes dans les mains pour avoir besoin d’un employé de l’Élysée, déguisé en pingouin pour vous ouvrir la portière de votre carrosse… ?
(Le pingouin, il exécute ce qu'on lui demande, sans son avis...!)
Il faut être aveugle et ne regarder que les Télés réalités pour ignorer tout ce faste, on pourrait en écrire tout un roman (j’ai failli écrire un rapport) mais comme ceux de la Cour des Comptes qui dénoncent cette gabegie.
(Caricature Séverin Millet)
Mais quand on a goûté au pouvoir, à tous ses privilèges, aux bons plats de la République, servis par Marianne et qui vous engraissent il est difficile de vous mettre au régime… !
(Caricature Honrez… ?)
C’est bien pourquoi, nous voyons des élus de tous bords d’un âge bien avancé qui roupillent allégrement lors des séances. Je rêve d’une loi fixant un âge limite pour exercer des fonctions électives.
Quand à ceux qui sont actuellement aux commandes ils ont commencé à s’entraîner il y a bien longtemps en vue de prochaines réélections,
mais là c’est une autre histoire… !
Je publie ce billet dans la catégorie humour, mais j'avoue que toutes ces conneries me font rire jaune (je n'irai pas jusqu'à dire que ça me fait broyer du "noir", au risque de me retrouver accusé de racisme...!). J'allais oublier, question "élections", ce n'est que le début de leurs conneries aux socialos-cocos-*écolos; vous ne voyez rien venir...? Pour essayer de conserver un max de ces incapables aux affaires ils vont...! Ils vont...? Bon je vais vous le dire: Nous foutre le vote des étrangers, alors, mes amis vous en dites quoi...?
(CaricatureArgal...?)
* Je refuse de voir le mouvement "Ecolos" affidé à un parti politique, pour moi l'écologie est une conception de protection de la nature, de l'environnement etc; et non de prendre la carte d'un parti politique.
J'ai bien peur que nos politiques aux affaires (je parle de la gauche) vont se dépécher de le faire avant 2017. Et là on ne pourra jouer sur les mots (N'est-ce pas mon amie Boutfil...?) car la potion sera amère malgré le slogan: "Bon Thé ne saurait mentir"...! Ou alors va falloir changer de fournisseur.
Je ne vais pas vous imposer un troisième billet sur l’art religieux, au risque de mettre en doute mon athéisme. Dans le cadre de « La Guinguette mobile »,
une soirée était organisée sur la place Pey-Berland (qui jouxte la cathédrale St André et la mairie de Bordeaux).
Après diverses animations, la soirée se terminait par un bal musette animé par le groupe « Clac, Clac, Clac). Même si on était loin de la musique classique et de Mozart, les trois musiciens n’ont pas ménagé leur peine pour convaincre les nombreux spectateurs à se lancer sur la piste. Si le cœur vous en dit, vous pouvez entrer dans la danse… !
L’Église orthodoxe russe a été consacrée le 10 Novembre 2012.
(Russisch-Orthodoxen Gemeinde des Hl. Gross Martyrers Dimitrios)
Le bâtiment en bois a été construit dans l'architecture traditionnelle russe. Des experts ukrainiens l’ont construite en dix-huit mois, à partir de grumes de pin rondes. C’est la première construction en bois de ce style en Allemagne après la Seconde Guerre mondiale.
L'église de 140 mètres carrés peut accueillir environ 150 personnes. Elle est située à seulement quelques mètres de la tour de télévision de Schwerin.
La communauté orthodoxe russe Schwerin existe depuis une dizaine d'années. Les services étaient jusqu'à l'achèvement du nouveau bâtiment assurés dans l'Église catholique Saint-André. La paroisse orthodoxe russe à Schwerin, comprend une centaine de croyants,
pour la plupart des émigrants.Plus les communautés orthodoxes russes en Mecklenburg-Vorpommern, notamment de Rostock et Stralsund.
La banlieue de Schwerin (Neue Zipendorf), est encore très marquée par l’occupation Russe lors de la RDA (Noms de rue, statue de Lénine, encore en place… !)
(Quartier typique de l’ex RDA)
J’ai eu la chance d’être autorisé à y pénétrer, alors qu’elle était fermée et y faire quelques photos et vidéos. Je vous invite à la visiter plus en détail.
L’autel gothique (un triptyque en grès), œuvre d’un atelier de Lübeck, est un cadeau en 1495, de l’évêque Konrad Loste, tel qu'inscrit sur la plaque reconstruite trouvée sous la table d'autel. De cet autel, seul le retable avec ses panneaux, faits de pierre et de bois, subsiste, les autres parties, en particulier la prédelle, ont disparu.
Après sa dernière restauration, cet autel était resté au musée jusqu’en 1948. Il fut restitué à la paroisse lors du septième centenaire de la cathédrale. Le tableau central de l’autel, qui date environ de 1430,
représente le chemin de croix(1), la crucifixion (2), la descente aux enfers du Christ (3)
Et à droite en haut, au milieu des gardes endormis,
la victoire sur les enfers.
À gauche du bas-relief en grès, Marie, la mère de Dieu,
Et à droite, Jean l’évangéliste, le saint patron de la cathédrale.
Les côtés de l’autel, montrent les 12 apôtres,
et quatre saints.
Ayant eu la permission exceptionnelle d’approcher ce magnifique retable et pour ceux que l’art religieux ne rebute pas, je vous mets un montage plus complet de ce triptyque.
Je suis donc allé rendre visite à mes cousins germains, et j’avoue que les retrouvailles m’ont un peu mis sur les rotules, heureusement que j’ai pu profiter de bonnes siestes au soleil.
J’ai fait la connaissance d’un cousin d’Amérique du Nord, qui lui aussi a mis le museau dehors pour profiter des premiers rayons de soleil.
Mes amis les cygnes ont commencé à faire les beaux pour séduire les copines.
Certains insistant jusqu’au coucher de soleil… !
J’ai quand même eu le temps de voir une très belle exposition photo de Stéphan Amm.
Une exposition de tableaux de Peter Klitta.
Pu prendre des photos de près du retable de la cathédrale, ce qui est habituellement interdit, mais avec mes yeux doux, j’ai eu le feu vert.
J’ai aussi pris d’autres photos dans le vieux cimetière afin d’en avoir assez pour en faire un montage.
Cette fois-ci, j’ai pu entrer dans cette nouvelle église orthodoxe de la banlieue de Schwerin.
J’ai pris des bains de nature, loin des chasseurs, un vrai plaisir… !
La plupart des photos feront l'objet de billets plus complets. Laissez-moi le temps d'atterrir, et de récupérer d'une belle bronchite von Schwerin. En attendant d'en faire les montages, je vous mets le bain de soleil de mon cousin Barak… !
Voilà un brave chasseur venu commenter mon billet :J’ai envie de tirer la chasse… ! qui met son cerveau au niveau de « ses couilles ». Je suis sûr que du temps où elles avaient une taille acceptable il en a fait faire une reproduction en guise de porte clés...!
Je n’ose imaginer le Q.I de ce saigneur (*adresse mail de ce courageux… !) quand on a les neurones confinés dans deux misérables raisins de Corinthe. De ce fait, j’admets combien il doit être difficile d’argumenter, et je comprends mieux qu’il éprouve du plaisir à tuer des animaux, au lieu de prendre son pied en « tirant un coup », s’il y arrive encore… ! Je lui conseille de contacter un ami photographe qui à condition de faire une macro de son trophée pourrait peut-être réussir à faire un cliché de ses deux rescapés, avant qu’un de ses copains les lui plombe… ! Et s’il éprouve une gêne, il peut contacter un urologue pour ablation définitive.
Je le cite […Ca vole bas et on voit bien de pars les commentaires poster ici que certains n'ont jamais quitté leur appartement sauf pour aller ramasser un ou deux champignons peut etre même pas comestibles…].
Monsieur « couille », désolé de vous contredire, mais je suis né dans un milieu de « culs terreux », mes parents étaient pépinièristes, et je connais aussi bien que vous la nature, mis à part que (ainsi que mes amis), j’en ai une autre conception, ne vous en déplaise… ! Allez essayer de convaincre vos compagnons viandards
(Photo Vosges-Matin)
de s’inscrire dans des clubs de tir au lieu de perdre votre temps sur le blog d’un suricate (animal protégé) râleur… !
Je demande à mes ami(e)s de bien vouloir m’excuser pour le niveau de ce billet, mais c’est le seul que ces « rambos » arrivent un peu à comprendre… !
Tout d’abord, grand merci à mes proches qui, après avoir supporté mes absences, mes caprices, « ma râlitude » (d’où mon surnom de papi râleur) m’ont encouragé, conseillé, à ceux qui par leurs critiques et conseils m'ont aidé ou m'aideront à progresser et à réaliser d’autres photos. Sans oublier tous les amoureux de la nature, tous mes amis à plumes et à poils,
(je ne parle pas des naturistes), la faune et la flore...bref, Dame Nature en général pour toutes les émotions qu'elle nous offre, sachons préserver ces privilèges, grâce aux valeurs reçues qui sont entre autres, le respect de l'animal et de son milieu.
(Cliquer sur photos pour agrandir)
Respect de la nature (déchets sur GR7) par certains chasseurs...!
Je n'aurais peut être jamais connu ces moments de bonheur intense, sans une bonne dose de curiosité, de patience et d'humilité, lors de ma présence dans la nature, les musées, cathédrales, églises, châteaux, expositions, concerts etc.
Pourquoi cette exposition… ?
Cette exposition a vu le jour grâce aux encouragements de mes proches, d’amis ou de simples rencontres réelles ou virtuelles. J’ai toujours été curieux de nature, un détail attire mon regard, un rien m’émerveille, je ne dirai pas que je suis un contemplatif… Quoique… ! Si vous m’accompagnez dans un musée, vous risquez de vous lasser bien avant moi, quand j’y consacrerai de longues minutes à essayer de déchiffrer tous les détails d’un tableau,
(La descente de croix du Maitre de Saint-Barthélémy)
ou en pleine nature sur le plateau du Caroux, assis de longues minutes sur un rocher en train d’observer un troupeau de mouflons. Avoir un appareil photo à la main ne nous autorise pas à faire n’importe quoi. Je me suis toujours efforcé à ne pas m’affranchir du droit à l’image et par là même, au respect de la propriété artistique, de la vie privée, à ne pas me permettre ce que je n’aimerai pas subir.
(Curieux personnage que j'ai croisé souvent dans le même habillement)
Il suffit d’avoir la correction de demander dans le cas d’une personne, d’un groupe, l’autorisation de prendre une photo, une vidéo et, éventuellement de pouvoir les diffuser sur internet. Je pense à des rencontres insolites dans la rue, lors de concerts, d’expositions etc.
(Habit traditionnel de couvreur)
Quelques photos qui font partie de cette exposition ont toutes reçu « un feu vert ». Je ne tiens pas à griller des feux rouges et me voir confisquer mon appareil photo, pour conduite sous l’emprise de certitudes ayant provoqué l’abandon des règles élémentaires du savoir vivre.
C’est ainsi que j’ai pu photographier un berger bougon, ce que je serai d’ici peu si je ne me fais pas vacciner, (pas contre la grippe, mais contre la grinchitude). Vous me pardonnerez l’utilisation de ces mots en « ude », que je n’emploie pas par « bravitude », mais par habitude, en raison de ma lassitude à photographier les bons mots du dictionnaire. Je vous laisse toute latitude, lors d’un prochain interlude pour, en raison de vos aptitudes, faire le tri dans la foultitude de mes inexactitudes… ! Ne voulant provoquer chez mes lecteurs un début d’hébétude, je m’empresse de rejoindre ce pauvre berger, avant que ses moutons n’entament la transhumance pour de verts pâturages en altitude.
Ce berger assis dans un champ de luzerne près d’un hameau, surveillant son troupeau en compagnie de ses chiens, avait retenu mon attention et mis en éveil mes yeux de suricate. Après avoir pris quelques photos, je suis allé le remercier, c’est alors que se levant, il m’a dit : « Vous en avez pris assez des photos, vous n’en avez pas marre, on dirait que vous n’avez jamais vu des moutons… ! ». J’avoue que sur le coup, mon avatar de suricate avait perdu de sa prestance, aussitôt remplacé par celui d’une carpe muette… ! En le regardant s’éloigner, j’ai pris deux ou trois photos en pensant quelles ne devraient pas être mal, compte tenu de ce que je voyais.
Gary Winogrand (Photographe américain renommé pour son portrait des États-Unis au milieu du XXe siècle, et principal représentant du mouvement de la photographie de rue) disait : « Ce qui importe n’est pas la chose que l’on photographie, mais de quoi cette chose à l’air une fois photographiée ».
(FIAC "+Si affinités" dans le Tarn)
Il ne me restait plus qu’à attendre le résultat après transfert sur mon ordinateur. Personnellement en les découvrant, je n’ai pas été déçu. Je n’ai pas réussi à demander à tous l’autorisation de les photographier. Ce fut le cas pour des mouflons, nous nous sommes compris en nous regardant les yeux dans les yeux, à tel point que l’effet de surprise passé, ils m’ont laissé faire tout en continuant à paître, ruminer, ou observer les alentours. Chose rare, je faisais alors, partie de leur environnement.
Quelquefois, j’ai eu honte de déranger des animaux. En Allemagne, ce fut le cas pour un superbe renard perché sur un talus bordant un terrain de golfe. Le temps de descendre du véhicule, de me saisir de mon appareil photo, maître Goupil avait disparu. Hors de question, de ne pas essayer de le revoir. J’escaladais cette levée de terre, il était bien là, à quelques mètres, furetant à droite et gauche à la recherche de mulots.
Après avoir réalisé quelques clichés, le voyant s’éloigner, j’ai signalé ma présence, il a tourné la tête ce qui m’a permis d’immortaliser son magnifique regard… ! La Fontaine n’ayant jamais dans ses fables mis à l’honneur le suricate, j’ai préféré assurer plutôt que de revenir avec un munster.
À mon âge vous m’imaginez, perché sur un arbre. ? D’autant que j’ai horreur des fromages bien parfumés… !
J’ai connu d’autres expériences très enrichissantes. Ce fut le cas lors de concerts, d’expositions, de visites diverses et variées. J’y ai admiré des œuvres, j’ai été envouté par des interprétations, mais j’ai surtout pu dialoguer avec des artistes ayant acquis une certaine renommée nationale, voire internationale. Vous parler de toutes serait abuser de votre temps. Toutefois j’en citerai deux ou trois qui m’ont touché plus particulièrement.
Lors d’un séjour à Schwerin, en Allemagne du nord, j’ai assisté à un concert de la nouvelle année , avec comme interprète principal le trompettiste Matthias Höfs.
(Deuxième à partir de la droite)
Dans l’après-midi, j’avais eu l’occasion d’être présent à une courte répétition, ce qui m’avait permis de l’aborder et lui demander l’autorisation , de faire lors du concert quelques vidéos et de les mettre en ligne sur internet, ce qu’il m’accorda sans hésiter. Pourtant il participe à des concerts internationaux et les télévisions allemandes l’invitent régulièrement… !
A Bordeaux, j’ai eu l’occasion de faire la connaissance d’Odile Durousseau, une artiste bordelaise travaillant sur de grandes dimensions peintures et sculptures. Pour son exposition Passages, fruit de 4 années de recherche, elle avait investi une cave labyrinthe, lieu atypique et insolite qui entraînait le visiteur dans 9 univers différents, tapissés de peintures, sculptures papiers, matières inattendues, tissus, céramiques, métal, polystyrène, végétaux, etc. d’où émanaient des émotions fortes.
Odile Durousseau y avait mis des histoires qui remontaient à plusieurs générations, du souvenir et du deuil. Les œuvres avaient été faites en fonction de la nature du lieu : l'aspect souterrain, caché de la cave l’avait entraîné à explorer ses propres émotions intérieures, celles que l'on ne montre pas, qui restent secrètes, cachées.
On ne ressortait pas de cette « descente aux enfers » sans avoir fait notre propre introspection, et réveillé nos démons enfouis afin d’essayer de les brûler. Dès mon arrivée je lui avais demandé si je pouvais faire un montage vidéo-photo et le mettre sur YouTube, ce qu’elle m’accorda, mais en me demandant si je pouvais le lui montrer avant de le publier. Elle en fut enchantée.
Lors de mes escapades parisiennes, je consacre toujours une journée au Louvre. Chaque fois, j’y croise des touristes étrangers, l’œil rivé à leur caméscope ou appareil photo, suivre au pas de course un guide agitant bien haut un petit drapeau. Je retrouve ainsi mes moutons de Panurge qui vont devoir en moins d’une heure parcourir des salles sans y consacrer le moindre arrêt, mis à part une quinzaine de secondes pour la victoire de Samothrace, normal, les 59 marches de l’escalier Daru y conduisant coupent le souffle,
ce qui occasionnera des photos floues pour ceux qui n’auront pas mis en fonction le contrôle automatique du « bougé ». Tout ce beau monde repartira pour un nouvel arrêt d’une dizaine de secondes, toujours le souffle coupé, pour immortaliser les bras coupés de la Vénus de Milo.
Heureusement que le tour opérateur voulant éviter que certains, au bord de l’infarctus, se fassent Harakiri pour abréger leurs souffrances, prend sur le temps consacré aux toilettes afin de leur offrir, une minute non homologuée de 50 secondes, pour en jouant des coudes, tout en se dressant sur la pointe des pieds, mitrailler la Joconde protégée derrière une glace anti-balle qui les gratifiera d’un sourire à la Joconde.
Il faut dire que dans une journée se taper le Louvre, Le Musée d’Orsay, La Tour Effel, Notre Dame, Les Champs Elysées, Montmartre, pour terminer la soirée, les pieds en compote au Moulin Rouge, il faut avoir la santé. La plupart pourront de retour au pays du soleil levant dire : Je suis venu, je n’ai rien vu, je suis reparti. Mais grâce aux appareils photos ils pourront enfin prendre le temps d’apprécier la beauté de Paris.
Faire un choix parmi mes nombreuses photos n’a pas été facile ; pour les plus curieux, vous pouvez si vous le souhaitez, visionner d’autres photos ou vidéos que j’ai mises en ligne sur YouTube dans environ 250 montages. Je tiens à vous rappeler que je ne suis pas un professionnel, mais un autodidacte équipé de simples appareils, qui à travers cette modeste exposition, a voulu faire partager les émotions, les émerveillements, les joies que j’ai ressenti. Je vous souhaite de connaitre la sérénité et la quiétude que peuvent apporter une journée d’immersion en pleine nature, la découverte de sites préservés, l'émotion qu'apporte les derniers mètres lors de l'approche avec la peur de déranger, de faire craquer la brindille nous trahissant, mais surtout la joie de réaliser la photo d'un animal libre et sauvage en pleine nature… ! Je terminerai en vous souhaitant de devenir des suricates.
Le bonheur est en face de vous, ouvrez les yeux, laissez-vous vous émerveiller.
Je vous invite à regarder un montage de toutes les photos de l’exposition.
"Ce qu'on ne peut dire, il faut l'écrire" : Mes grains de sel sur ce qui me tient à coeur (Nature,Arts, Environnement..) m'exaspère ( Bêtise humaine, Chasse, Corrida, islamistes etc.)