Comment nos gouvernants, les médias (aux ordres) osent nous ressortir les mêmes conneries...?
C'est faire injure à tous ces morts et blessés. Comment osent-ils nous enfariner avec leurs mensonges, répéter à longueur de journée que ce pauvre islamiste avait des problèmes de coeur, qu'il était dépressif etc.
Il suffit de regarder sa conception de l'amour à la mode djihadiste en voyant la mise en scène de ses enfants sur sa page F.B
Braves gens dormez en paix, tout va bien, tout le monde est beau et gentil...!
Je fais un rêve en espérant qu'il se réalise avant mai 2017.
Ce court billet pour informer mes fidèles visiteurs ami(e)s, que je n'ai plus le temps de venir vous rendre visite et de publier des billets. Sans explication, le montage vidéo-photo de l'exposition Paul klee actuellement au Centre Pompidou jusqu'au 01 Août 2016.
C'est avec grand plaisir que j'ai reçu ce cadeau de Madame Dominique Asteggiano, suite à un montage vidéos-photos réalisé avec son accord, lors de son exposition à Bordeaux dans la magnifique salle de la Cour Mably.
(Mon terrier bordelais, rue St Rémi, celle à droite de la fontaine)
Ce lundi, je pars me rendre compte si mes amis les ragondins,
n’ont pas été incommodés par la montée des eaux de la Garonne.
Autre lieu pour me rencontrer le musée des Beaux Arts,
devant le tableau de Rosa Bonheur.
ou au Musée des Arts décoratifs, devant le cénotaphe de Michel de Montaigne
Pour vous aider à vous repérer, un aperçu (de jour et de nuit) de la magnifique perspective de la Place de la Bourse et de sa fontaine des trois grâces.
Après un peu plus de trois semaines d’abandon volontaire de la télé, d’internet, de vos blogs et du mien pour une cure de désintoxication médiatique chez Angela, je viens vous rassurer par ce premier billet. Mes yeux de suricate n’ont pas fait grève et mon APN «auch nicht in den Streik getreten».
Vous aurez droit à une vidéo sur la Marienkirche de Parchim avec son retable
et ses orgues magnifiques.
Puisqu'on est dans les églises, vous ne couperez pas à une vidéo d'un concert d'orgue dans la chapelle du château rarement accessible.
Et pour ceux que les orgues ne font pas fuir, une autre vidéo d’un moment musical dans la cathédrale de Schwerin
Je n’oublierai pas de vous faire découvrir une Street animation avec un batteur exceptionnel.
Dans un tout autre registre j’ai eu le plaisir de revoir Vasili Condoi qui s’est souvenu de mes vidéos de son EnsembleNachtigall et m’a demandé si je pouvais faire une autre vidéo (en fait deux) avec son petit fils, autant vous dire que je ne me suis pas fait prier… !
Schwerin étant entouré de sept lacs, pendant un week-end s’est déroulé sur le lac Pfaffenteich en centre ville le Schweriner Drachenbootfestival.
Si vous ne craignez pas le bateau vous embarquerez pour une vidéo nautique. Ne voulant pas rendre ce billet difficile à charger en raison du poids (en pixels) des photos, vous attendrez pour la suite...! Bien entendu, je n'ai pas oublié de mitrailler les animaux, j'ai même eu droit à un canard qui s'est payé le luxe de se faire pousser une paire d'aile supplémentaire; une sorte de quadrimoteur qui doit lui permettre de mieux contrôler les cancans de ses canes...! Si ce n'est pour être le Deutsch -Ente le plus photographié? La preuve.
Je suis donc allé rendre visite à mes cousins germains, et j’avoue que les retrouvailles m’ont un peu mis sur les rotules, heureusement que j’ai pu profiter de bonnes siestes au soleil.
J’ai fait la connaissance d’un cousin d’Amérique du Nord, qui lui aussi a mis le museau dehors pour profiter des premiers rayons de soleil.
Mes amis les cygnes ont commencé à faire les beaux pour séduire les copines.
Certains insistant jusqu’au coucher de soleil… !
J’ai quand même eu le temps de voir une très belle exposition photo de Stéphan Amm.
Une exposition de tableaux de Peter Klitta.
Pu prendre des photos de près du retable de la cathédrale, ce qui est habituellement interdit, mais avec mes yeux doux, j’ai eu le feu vert.
J’ai aussi pris d’autres photos dans le vieux cimetière afin d’en avoir assez pour en faire un montage.
Cette fois-ci, j’ai pu entrer dans cette nouvelle église orthodoxe de la banlieue de Schwerin.
J’ai pris des bains de nature, loin des chasseurs, un vrai plaisir… !
La plupart des photos feront l'objet de billets plus complets. Laissez-moi le temps d'atterrir, et de récupérer d'une belle bronchite von Schwerin. En attendant d'en faire les montages, je vous mets le bain de soleil de mon cousin Barak… !
Tout d’abord, grand merci à mes proches qui, après avoir supporté mes absences, mes caprices, « ma râlitude » (d’où mon surnom de papi râleur) m’ont encouragé, conseillé, à ceux qui par leurs critiques et conseils m'ont aidé ou m'aideront à progresser et à réaliser d’autres photos. Sans oublier tous les amoureux de la nature, tous mes amis à plumes et à poils,
(je ne parle pas des naturistes), la faune et la flore...bref, Dame Nature en général pour toutes les émotions qu'elle nous offre, sachons préserver ces privilèges, grâce aux valeurs reçues qui sont entre autres, le respect de l'animal et de son milieu.
(Cliquer sur photos pour agrandir)
Respect de la nature (déchets sur GR7) par certains chasseurs...!
Je n'aurais peut être jamais connu ces moments de bonheur intense, sans une bonne dose de curiosité, de patience et d'humilité, lors de ma présence dans la nature, les musées, cathédrales, églises, châteaux, expositions, concerts etc.
Pourquoi cette exposition… ?
Cette exposition a vu le jour grâce aux encouragements de mes proches, d’amis ou de simples rencontres réelles ou virtuelles. J’ai toujours été curieux de nature, un détail attire mon regard, un rien m’émerveille, je ne dirai pas que je suis un contemplatif… Quoique… ! Si vous m’accompagnez dans un musée, vous risquez de vous lasser bien avant moi, quand j’y consacrerai de longues minutes à essayer de déchiffrer tous les détails d’un tableau,
(La descente de croix du Maitre de Saint-Barthélémy)
ou en pleine nature sur le plateau du Caroux, assis de longues minutes sur un rocher en train d’observer un troupeau de mouflons. Avoir un appareil photo à la main ne nous autorise pas à faire n’importe quoi. Je me suis toujours efforcé à ne pas m’affranchir du droit à l’image et par là même, au respect de la propriété artistique, de la vie privée, à ne pas me permettre ce que je n’aimerai pas subir.
(Curieux personnage que j'ai croisé souvent dans le même habillement)
Il suffit d’avoir la correction de demander dans le cas d’une personne, d’un groupe, l’autorisation de prendre une photo, une vidéo et, éventuellement de pouvoir les diffuser sur internet. Je pense à des rencontres insolites dans la rue, lors de concerts, d’expositions etc.
(Habit traditionnel de couvreur)
Quelques photos qui font partie de cette exposition ont toutes reçu « un feu vert ». Je ne tiens pas à griller des feux rouges et me voir confisquer mon appareil photo, pour conduite sous l’emprise de certitudes ayant provoqué l’abandon des règles élémentaires du savoir vivre.
C’est ainsi que j’ai pu photographier un berger bougon, ce que je serai d’ici peu si je ne me fais pas vacciner, (pas contre la grippe, mais contre la grinchitude). Vous me pardonnerez l’utilisation de ces mots en « ude », que je n’emploie pas par « bravitude », mais par habitude, en raison de ma lassitude à photographier les bons mots du dictionnaire. Je vous laisse toute latitude, lors d’un prochain interlude pour, en raison de vos aptitudes, faire le tri dans la foultitude de mes inexactitudes… ! Ne voulant provoquer chez mes lecteurs un début d’hébétude, je m’empresse de rejoindre ce pauvre berger, avant que ses moutons n’entament la transhumance pour de verts pâturages en altitude.
Ce berger assis dans un champ de luzerne près d’un hameau, surveillant son troupeau en compagnie de ses chiens, avait retenu mon attention et mis en éveil mes yeux de suricate. Après avoir pris quelques photos, je suis allé le remercier, c’est alors que se levant, il m’a dit : « Vous en avez pris assez des photos, vous n’en avez pas marre, on dirait que vous n’avez jamais vu des moutons… ! ». J’avoue que sur le coup, mon avatar de suricate avait perdu de sa prestance, aussitôt remplacé par celui d’une carpe muette… ! En le regardant s’éloigner, j’ai pris deux ou trois photos en pensant quelles ne devraient pas être mal, compte tenu de ce que je voyais.
Gary Winogrand (Photographe américain renommé pour son portrait des États-Unis au milieu du XXe siècle, et principal représentant du mouvement de la photographie de rue) disait : « Ce qui importe n’est pas la chose que l’on photographie, mais de quoi cette chose à l’air une fois photographiée ».
(FIAC "+Si affinités" dans le Tarn)
Il ne me restait plus qu’à attendre le résultat après transfert sur mon ordinateur. Personnellement en les découvrant, je n’ai pas été déçu. Je n’ai pas réussi à demander à tous l’autorisation de les photographier. Ce fut le cas pour des mouflons, nous nous sommes compris en nous regardant les yeux dans les yeux, à tel point que l’effet de surprise passé, ils m’ont laissé faire tout en continuant à paître, ruminer, ou observer les alentours. Chose rare, je faisais alors, partie de leur environnement.
Quelquefois, j’ai eu honte de déranger des animaux. En Allemagne, ce fut le cas pour un superbe renard perché sur un talus bordant un terrain de golfe. Le temps de descendre du véhicule, de me saisir de mon appareil photo, maître Goupil avait disparu. Hors de question, de ne pas essayer de le revoir. J’escaladais cette levée de terre, il était bien là, à quelques mètres, furetant à droite et gauche à la recherche de mulots.
Après avoir réalisé quelques clichés, le voyant s’éloigner, j’ai signalé ma présence, il a tourné la tête ce qui m’a permis d’immortaliser son magnifique regard… ! La Fontaine n’ayant jamais dans ses fables mis à l’honneur le suricate, j’ai préféré assurer plutôt que de revenir avec un munster.
À mon âge vous m’imaginez, perché sur un arbre. ? D’autant que j’ai horreur des fromages bien parfumés… !
J’ai connu d’autres expériences très enrichissantes. Ce fut le cas lors de concerts, d’expositions, de visites diverses et variées. J’y ai admiré des œuvres, j’ai été envouté par des interprétations, mais j’ai surtout pu dialoguer avec des artistes ayant acquis une certaine renommée nationale, voire internationale. Vous parler de toutes serait abuser de votre temps. Toutefois j’en citerai deux ou trois qui m’ont touché plus particulièrement.
Lors d’un séjour à Schwerin, en Allemagne du nord, j’ai assisté à un concert de la nouvelle année , avec comme interprète principal le trompettiste Matthias Höfs.
(Deuxième à partir de la droite)
Dans l’après-midi, j’avais eu l’occasion d’être présent à une courte répétition, ce qui m’avait permis de l’aborder et lui demander l’autorisation , de faire lors du concert quelques vidéos et de les mettre en ligne sur internet, ce qu’il m’accorda sans hésiter. Pourtant il participe à des concerts internationaux et les télévisions allemandes l’invitent régulièrement… !
A Bordeaux, j’ai eu l’occasion de faire la connaissance d’Odile Durousseau, une artiste bordelaise travaillant sur de grandes dimensions peintures et sculptures. Pour son exposition Passages, fruit de 4 années de recherche, elle avait investi une cave labyrinthe, lieu atypique et insolite qui entraînait le visiteur dans 9 univers différents, tapissés de peintures, sculptures papiers, matières inattendues, tissus, céramiques, métal, polystyrène, végétaux, etc. d’où émanaient des émotions fortes.
Odile Durousseau y avait mis des histoires qui remontaient à plusieurs générations, du souvenir et du deuil. Les œuvres avaient été faites en fonction de la nature du lieu : l'aspect souterrain, caché de la cave l’avait entraîné à explorer ses propres émotions intérieures, celles que l'on ne montre pas, qui restent secrètes, cachées.
On ne ressortait pas de cette « descente aux enfers » sans avoir fait notre propre introspection, et réveillé nos démons enfouis afin d’essayer de les brûler. Dès mon arrivée je lui avais demandé si je pouvais faire un montage vidéo-photo et le mettre sur YouTube, ce qu’elle m’accorda, mais en me demandant si je pouvais le lui montrer avant de le publier. Elle en fut enchantée.
Lors de mes escapades parisiennes, je consacre toujours une journée au Louvre. Chaque fois, j’y croise des touristes étrangers, l’œil rivé à leur caméscope ou appareil photo, suivre au pas de course un guide agitant bien haut un petit drapeau. Je retrouve ainsi mes moutons de Panurge qui vont devoir en moins d’une heure parcourir des salles sans y consacrer le moindre arrêt, mis à part une quinzaine de secondes pour la victoire de Samothrace, normal, les 59 marches de l’escalier Daru y conduisant coupent le souffle,
ce qui occasionnera des photos floues pour ceux qui n’auront pas mis en fonction le contrôle automatique du « bougé ». Tout ce beau monde repartira pour un nouvel arrêt d’une dizaine de secondes, toujours le souffle coupé, pour immortaliser les bras coupés de la Vénus de Milo.
Heureusement que le tour opérateur voulant éviter que certains, au bord de l’infarctus, se fassent Harakiri pour abréger leurs souffrances, prend sur le temps consacré aux toilettes afin de leur offrir, une minute non homologuée de 50 secondes, pour en jouant des coudes, tout en se dressant sur la pointe des pieds, mitrailler la Joconde protégée derrière une glace anti-balle qui les gratifiera d’un sourire à la Joconde.
Il faut dire que dans une journée se taper le Louvre, Le Musée d’Orsay, La Tour Effel, Notre Dame, Les Champs Elysées, Montmartre, pour terminer la soirée, les pieds en compote au Moulin Rouge, il faut avoir la santé. La plupart pourront de retour au pays du soleil levant dire : Je suis venu, je n’ai rien vu, je suis reparti. Mais grâce aux appareils photos ils pourront enfin prendre le temps d’apprécier la beauté de Paris.
Faire un choix parmi mes nombreuses photos n’a pas été facile ; pour les plus curieux, vous pouvez si vous le souhaitez, visionner d’autres photos ou vidéos que j’ai mises en ligne sur YouTube dans environ 250 montages. Je tiens à vous rappeler que je ne suis pas un professionnel, mais un autodidacte équipé de simples appareils, qui à travers cette modeste exposition, a voulu faire partager les émotions, les émerveillements, les joies que j’ai ressenti. Je vous souhaite de connaitre la sérénité et la quiétude que peuvent apporter une journée d’immersion en pleine nature, la découverte de sites préservés, l'émotion qu'apporte les derniers mètres lors de l'approche avec la peur de déranger, de faire craquer la brindille nous trahissant, mais surtout la joie de réaliser la photo d'un animal libre et sauvage en pleine nature… ! Je terminerai en vous souhaitant de devenir des suricates.
Le bonheur est en face de vous, ouvrez les yeux, laissez-vous vous émerveiller.
Je vous invite à regarder un montage de toutes les photos de l’exposition.
« Ce qui importe n’est pas la chose que l’on photographie, mais de quoi cette chose à l’air une fois photographiée » Gary Winnogrand
Il ne suffit pas d’ouvrir les yeux, encore faut-il savoir regarder, s’émerveiller. J’ai toujours été animé d’un esprit curieux, un rien attire mon regard, un détail anodin va retenir mon attention.
La nature nous offre un spectacle toujours renouvelé, chaque lever ou coucher de soleil est différent, chaque heure du jour va dévoiler ses dégradés de couleurs en perpétuel changement. Les grands peintres s’en sont inspirés, tel Claude Monet dans ses 18 tableaux de la cathédrale de Rouen.
Cette série nous montre la palette de couleurs qu’il a utilisées pour reproduire un moment différent de la journée : au petit matin, à midi, le soir, mais aussi au crépuscule ou par temps de brouillard. Il a peint ces toiles, toutes différentes, la lumière changeant selon la saison et l’heure. Ce qui l’intéressait, ce n’était pas de représenter la cathédrale pour elle-même, mais pour mettre en valeur les variations de la lumière sur sa façade.
La nature est une symphonie jouée par sa faune et sa flore, encore faut-il en déceler les différents interprètes… !
Un paysage, un ruisseau, une forêt, ainsi que les animaux qui y vivent concourent à m’enchanter, à révéler des émotions comme l’a fait Beethoven dans sa 6ème Symphonie, « La Pastorale » et son 2ème mouvement « Scène au bord du ruisseau ». Un peintre va utiliser des couleurs différentes pour nous emmener dans son univers. Beethoven se sert d’instruments de l’orchestre pour nous y plonger.
Dans sa Pastorale, il s'amuse à associer à des oiseaux, complétant ainsi la «scène» idyllique au bord du ruisseau: la flûte pour le rossignol, le hautbois pour la caille, la clarinette pour le coucou.
Lors de mes immersions dans cette nature sauvage que m’offre le massif du Caroux, au cœur du parc naturel régional du Haut-Languedoc, je suis toujours émerveillé de revoir des mouflons, comme lors de ma première rencontre avec ceux-ci, perchés sur des rochers ou broutant au fond d’un ravin.
Quel plaisir indescriptible, lors de ces moments d’intimité, face à ces animaux sauvages, les yeux dans les yeux, où je me sens comme un intrus dans cette nature, mais ravi de les immortaliser par des photos et non pas comme le font certains chasseurs dans le seul but de se faire photographier auprès du cadavre d’un beau mâle aux cornes en spirales, avant d’emporter le trophée qui trônera dans leur salon en guise de tableau… !
La nature est une source inépuisable de ravissements.
Un cygne s’ébrouant, des canards sauvages parés de plumes chatoyantes, une araignée en attente d’une proie, un renard en vadrouille, un écureuil monté sur « ressort », une mouette en plein vol, une marmotte curieuse, un héron au long cou, des mouflons prenant la pose et bien d’autres choses, tels coucher de soleil, clair de lune, paysages verdoyants ou enneigés etc. ont été le fil directeur de mes émotions que je tiens à vous faire partager à travers la modeste exposition d’un suricate curieux de tout… !
Prenez le temps d’ouvrir les yeux, le bonheur est en face de vous… !
Je vous invite à visionner un montage vidéos de l’exposition.
"Ce qu'on ne peut dire, il faut l'écrire" : Mes grains de sel sur ce qui me tient à coeur (Nature,Arts, Environnement..) m'exaspère ( Bêtise humaine, Chasse, Corrida, islamistes etc.)