Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Grains de sel
2 juillet 2006

Clin d'oeil à Diablesse Sophia

chien

Pour les concours, j'espère que tu t'y connais mieux en races de chien?

Moi ce "phoque terrier", je le trouve sympa.

Malheureusement  les bébés sont massacrés pour leur fourrure! (Là, je ne plaisante plus!)

Publicité
Publicité
21 juin 2006

La France championne du monde

ivre2

Zizou, t’en fais pas la relève est assurée.

C'est fou le nombre d'adeptes du 4 fois 4 bières non décapsulées!

Il faut dire que nous pensions avoir les jeux olympiques pour 2012 ; ou être champion du monde de foot cette année. Là, un petit espoir, mais c’est encore Togo ! (Je voulais dire trop tôt).

En guise d'espoir de médailles ou de coupe pour cette discipline, bientôt homologuée, vu le nombre de pratiquants; il va falloir que les musclés des abdominaux "Kronemb…g" se contentent de collectionner les capsules.

Pour un collier, ça donne un genre qui permet de te classer dans la catégorie des musclés du coude (ben oui, il faut bien se l'amener à portée de la ligne de départ ; boire avec une paille, bonjour l'aérophagie!)

Puis, tout le monde sait qu'il est difficile d'arrêter la compétition quand on a connu la franche camaraderie qui règne après les épreuves, où la 3ème mi-temps te permet d'entretenir la forme en buvant encore un petit coup (c'est le minimum), façon d'enlever la poussière.

Et je ne parle pas des guerriers de comptoir, les buveurs de canons, qui passeront des journées à se mettre d’accord avec les piliers (pas de rugby) pour l’arôme du Beaujolpif «banane ou mure ? » ils sont dans la catégorie inférieure, là pas de capsule !

Bon comme disait l'autre: le plus difficile ce n'est pas de s'arrêter de boire, mais de ne pas commencer !

hips_1

20 juin 2006

Gazette des poulaillers. "La virée de Loup Blanc"

archedenoejacquemar

Petit texte écrit sans prétention, en utilisant des expressions ou noms d’animaux.

« La gazette des poulaillers, le dernier endroit à la mode où l’on caquette ».

Un samedi soir, sa BERGERONNETTE n’étant pas libre, notre LOUP BLANC dit le FURET, gras comme une ABLETTE, décida de s’offrir une petite virée. La journée avait été rude.

LA VACHE, avec ses yeux de CARPE, prétextant qu’elle attendait son  MORPION, lui avait dit de bloquer ses CHENILLES.

PETITE LIONNE, en vrai TEIGNE, avec son appétit de MUSARAIGNE, avait décliné son invitation à l’accompagner : (pas folle la GUEPE !).

ONLY DOO, dénicheur de FAUVETTES, copain comme COCHON avec sa COLOMBE de Jazzya, en mauvais CABOT, lui avait posé un LAPIN, en lui faisant avaler des COULEUVRES.

MA PUPUCE, retenue pour le lac des CYGNES, version Holiday on Ice, ne voulant pas du rôle de BECASSE, lui avait dit : BERNIQUE !

Jazzya, avait sa COCCINELLE en panne et devait se rendre chez son PERROQUET, suite à une amende impayée pour excès de vitesse, lors de la traque de SURICATE.

Confronté au peu d’empressement de sa meute, leurs boniments à la graisse d’OIE , lui avaient mis l’ARAIGNEE dans le plafond : un  vrai BOURDON.

Ayant un OURSIN dans le CRAPAUD, il vérifia s’il avait assez de blé pour s’envoyer un ASTICOT de cercueil.

Ne voulant pas ressembler à un BARBILLON de pissotière, il s’était habillé avec classe.

Il avait enfilé sa plus belle LIMACE ; ne sait-on jamais, une CAILLE pourrait avoir envie de laisser miauler son CHAT.

Une rapide inspection au peigne fin l’avait rassuré, il n’avait pas des PAPILLONS d’amour accrochés à sa queue de RAT.

Il pourrait lui demander de lui faire le POISSON souffleur, son ANGUILLE de calcif avait besoin de changer d’air.

Avant de partir, faute de GRIVES, il estropia un ANCHOIS, son estomac d’AUTRUCHE, lui éviterait d’être trop vite saoul comme une BOURRIQUE.

Dans l’escalier il croisa son concierge, vieux CHEVAL de retour, alias le CLOPORTE, puant le BOUC, saoul comme une TIQUE du matin au soir.

Direction le DRAGON; il longea le royaume des TAUPES, fit un crochet par le DROMADAIRE, boite à HOMARD, dans l’espoir d’y trouver un CHIEN de quartier qui lui offrirait un pissat d’ANE.

Hélas mis à part des PERDREAUX qui recherchaient un petit MAQUEREAU accusé d’avoir tabassé sa JUMENT, et des MARSOUINS baptisés avec une queue de MORUE, entrain de taquiner les BREMES, pas de connaissances.

Il repartit en pattes de MOUCHE.

Dehors, il faisait un froid de CANARD, il ne risquait pas d’être piqué par un MOUSTIQUE, les CHIKUNGUNIAS étaient en réunion !

Après avoir croisé un TETARD au regard d’AIGLE, il tomba sur un ESCARGOT de trottoir à tête de GORILLE, plein comme une HUITRE, qui lui demanda ses papiers.

Il fouilla en vain sa poche KANGOUROU, et dû se rendre à l’évidence, il ne les avait pas.

Il eut beau supplier qu’il les avait oublié chez son MERLAN, qu’il les présenterait dès demain, rien à faire, même ses larmes de CROCODILE à faire monter un CASTOR aux rideaux ne réussirent pas à amadouer ce vieux SINGE.

Notre FAUVETTE à tête noire n’appréciant pas d’être pris pour un PIGEON, passa un coup de BIGORNEAU à la maison POULET.

Cinq minutes plus tard, il vit arriver un fourgon et se trouva propulsé dans la COQUILLE, par un drôle de ZEBRE, habillé en SERIN avec des SARDINES sur les manches, hargneux comme un OURS mal léché, rouge comme une ECREVISSE.

La BETAILLERE démarra, conduite par un HIBOU au cou bordé d’ASTRAKAN, qui avait un peu trop chargé la MULE.

Ils empruntèrent une route défoncée ; à chaque nid de POULE, nos compères riaient comme des BALEINES, tandis que notre cher LOUP, en vrai GRENOUILLE de bénitier, implorait St François d’Assise.

Il avait de plus en plus envie d’aller au RENARD.

Enfin ils arrivèrent au poste où un BŒUF carotte, baillant aux CORNEILLES, affublé d’un perchoir à MOINEAUX, le visage MITE suite à des CHARANCONS dans les flâneuses, lui confirma sa mise en garde à vue.

Le POULAILLER était déjà bien garni ; une GRUE, plate comme une MORUE, les seins en oreille de COCKER, une vraie SAUTERELLE, l’accueillit d’un « Bonjour ma BICHE ! Tu sais que t’es CHOUETTE ! ».

Heureusement qu’une PUNAISE, avenante comme une TIGRESSE, conseilla à cette CHIENNE d’aller faire le pied de GRUE ailleurs.

Elle commençait à être collante comme une SANGSUE.

Une GIRELLE qui puait la CREVETTE, lui raconta qu’elle avait mangé le GIBIER, et avait peur à sa sortie de recevoir une valse par son BROCHET.

Notre pauvre LOUP BLANC, envahi d’un terrible CAFARD, se serait bien déguisé en CERF ; il jura de ne plus faire de sortie nocturne sans sa fidèle MEUTE.

Dans sa COMMUNAUTE, il était un vrai COQ en patte, ici, il était considéré comme un ROSSIGNOL sans valeur.

                                          Le CORBEAU

P.S : Loup, comme dirait Michel Drucker : « Si tu lis cet article, excuse-moi, je plaisante.» Toute ressemblance avec un membre de la Communauté serait le fait du hasard !

Mieux vaut être Loup que Lapin: la preuve en dessous!

arche_de_noe

17 juin 2006

Bizarre

dscn5676

Sur le chemin de Compostelle, après Viana, face à ce panneau, je me suis demandé comment un automobiliste pouvait doubler vu l'étroitesse du chemin!

15 juin 2006

Dracula le retour

Lors de ma pérégrination sur le chemin de Compostelle, j'ai fait une étrange rencontre devant la cathédrale de Logrono!

1421

Ce chien me fixait d'un drôle d'air, j'ai eu l'impression qu'il avait une dent contre moi; heureusement qu'il n'était pas minuit.

Publicité
Publicité
11 juin 2006

Un peu de philosophie dans un monde de brute

dscn0936

                     Lire jusqu’à la fin. Beaucoup seront d’accord avec la morale…..

Un prof de philo se présente devant la classe avec une série d’objets individuels qu’il pose sur son pupitre, face à ses étudiants.

Le silence intrigué de l’assistance étant acquis, le prof prend un grand bocal de cornichons (vide et propre) et commence par le remplir jusqu’au bord supérieur de pierres d’un diamètre situé entre 6 et 7 cm.

Cela une fois terminé, il demande à la classe si le bocal est bien rempli.

Les élèves répondent que oui.

Le prof prend alors un sachet rempli de gravillons et le verse dans le bocal.          Il agite le tout, pour égaliser, et voilà que le gravier remplit tous les espaces encore vides.

Après avoir fini cette manipulation, le prof demande une fois encore à sa classe si le bocal est maintenant bien rempli. La classe répond hilare et intriguée que oui.

Le prof se saisit alors d’un petit sac de sable et en verse le contenu dans le bocal.

Evidemment, le sable se fraie un passage dans les interstices qui sont encore disponibles, au grand contentement de la classe.

« Voyez-vous » dit le prof en s’adressant à ses étudiants « j’aimerais que vous compariez ceci à votre propre existence.

Les grosses pierres représentent les choses véritablement importantes, comme la famille, le couple, la santé, les enfants.

Ces choses qui font que même si vous perdez tout le reste, votre vie n’en demeurera pas moins bien remplie.

Les gravillons représentent, quant à eux, les choses qui sont importantes, mais non essentielles, comme le travail, la maison, la voiture.

Enfin, les grains de sable peuvent être comparés aux choses sans importance.

Si vous commencez par mettre le sable dans le bocal, il ne restera plus assez d’espace pour le gravier ou les pierres.

Il en va de même avec votre vie : si vous gaspillez votre disponibilité et votre énergie pour des petites choses, il ne vous restera jamais assez ni de temps ni de place pour ce qui est essentiel à votre bonheur.

Jouez avec vos enfants, prenez le temps d’être à l’écoute de votre santé, sortez avec votre conjoint, parlez avec vos parents.

Il y aura toujours du temps pour réparer l’aspirateur, pour finir un dossier ou laver la voiture.

« Soignez les grandes pierres en tout premier lieu, ce sont les choses qui comptent vraiment.

Le reste n’est que sable qui s’écoule entre vos doigts »

            Jusqu’ici, tout va bien (« comme il a raison, comme ce discours est pertinent et élégant, etc.. »).

            Mais soudain, voilà qu’un étudiant se lève. Il s’approche du pupitre du professeur et se saisit du bocal, dont chacun s’accordait à dire qu’il était cette fois véritablement totalement rempli.

L’étudiant décapsule une canette de bière devant tout le monde et en verse tout le contenu dans le bocal.

            Ainsi le liquide se disperse harmonieusement dans les espaces qui, à l’évidence existaient encore dans le fameux bocal.

            Moralité : (voir plus bas)

            Moralité : (voir plus bas)

            Moralité : (voir plus bas)

            Moralité (voir plus bas)

Moralité : «  Aussi remplie que soit ton existence, il y aura toujours de la place

                      pour une bonne bière. »

Publicité
Publicité
<< < 10
Grains de sel
Publicité
Grains de sel
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 1 059 515
Publicité