à la pâte, des évènements imprévus, m’obligent même à faire la cuisine.

Je suis à bout de forces… !

Comment peut-on prendre plaisir à cuisiner ?

Ne voulant pas ressembler à un zombie et voulant conserver un galbe parfait de mes « fesses », en vue de mes prochains bains de soleil, j’ai préparé un rôti de porc avec des oignons et pommes de terre… !

En voici la recette :

Mettre 3 cuillères à soupe d’huile d’olive, faire dorer le rôti, puis y ajouter une dizaine d’oignons blanc, coupés en fines lamelles.

Faire dorer les oignons, puis ajouter une dizaine de pommes de terre coupées en quatre.

Saler poivrer, saupoudrer de thym, incorporer deux verres de vin blanc sec et un verre d’eau ; couvrir et laisser cuire à feu doux une heure.

Qui ose encore dire que je me* la coule douce… ?

* Expression méridionale

Aujourd’hui, je n’ai pas assez de temps pour mettre en route mon petit cerveau de SURICATE et lui laisser écrire quelques lignes.

Entre le ménage, la lessive, la cuisine, la ménagerie chats et bien d’autres choses, mon clavier est inaccessible.

Je délègue cette possibilité à un petit compagnon qui va se faire un plaisir de vous griffonner quelques lignes et,

cerise sur le gâteau en musique.

Les derniers jours des soldes sont là.

Ce n’est pas trop tôt, les femmes vont pouvoir vaquer à leurs occupations favorites :

Ménage, cuisine, faire les courses (pour manger), s’occuper des gosses (toilettes, jeux, devoirs etc.), laver la voiture, s’occuper des papiers administratifs, faire les réparations d’entretien, sortir le chien, jardiner, servir l’apéritif, et le plus important ne plus dépenser de l’argent en achats inutiles sous prétexte qu’il y a 50% de réduction… !

Et pour nous les Machos : Retrouver le « Farniente » pour un bonne préparation des congés… ! Non mais c’est vrai, elles ont la journée de la femme pour se reposer et s’aérer… !

P.S : Pour ceux qui n’apprécieraient pas mon humour, je tiens à signaler que je déconne… !

P.S du P.S : Je suis un SURICATE modèle, je fais même les courses… !

• Arrêtez de m’envoyer des huissiers, ceux d’avant m’ont déjà tout volé !

• C’est au moins le quatrième tiers provisionnel que je vous paye cette année !

• C’est ma femme qui s’occupe de tous les papiers chez moi et c’est à elle qu’il faut réclamer les impôts que vous me voulez.

• Ca ne va quand même pas mettre le gouvernement en faillite parce qu’il manque 1000 € à vous donner !

  

• Ca sert à rien de lancer vos huissiers contre moi puisque je refuse de leur ouvrir la porte.

• Ce n’est pas la peine de m’imprimer plein de feuilles de réclamation pour le retard des impôts, je n’ai pas de sou et un point c’est tout !

• Ce n’est pas parce que vous êtes des voleurs officiels que je n’ai pas le droit de vous dire vos vérités !

• Ce n’est pas un retard que je vous demande, c’est un délai.

• Cher monsieur le Trésorier, vous noterez tout d’abord que je viens de commencer cette lettre par le mot « CHER  monsieur ». « Cher » dans les trois acceptions qu’en donne le dictionnaire (Petit Robert, édition de 2002, page 300), c'est-à-dire :

1° Qui est d’un prix élevé.

2° Qui exige de grandes dépenses.

3° Qui fait payer un prix élevé.

• Combien de fois il faudra vous répéter que je n’ai pas à payer d’impôt puisque je suis vieux maintenant.

• Dans ma dernière lettre qui faisait sept pages je vous expliquais le problème en deux mots.

• Des impôts, j’en paye déjà assez avec mes amendes, si en plus il faut m’en prendre sur mon salaire, c’est plus possible !

• J’ai déjà donné la moitié de mon tiers et maintenant vous me demandé la totalité de l’autre tiers alors que je n’ai même pas fini de payer le premier.

• J’écris plus de mille lettres par jour, alors comment voulez-vous que je me souvienne si je vous ai écrit ou non ?

• J’entends d’ici le regard que vous allez me jeter.

• Je me suis trompé dans ma déclaration d’impôts parce que les piles de ma calculatrice étaient usées, donc il n’y a pas faute de ma part.

• Je n’ai pas des milliers de domestiques, moi, je ne suis pas la baronne de Rotchilde !

• Je n’ai pas eu le temps de vous payer les impôts car moi je n’ai pas que ça à faire !

• Je ne peux pas vous payer car j’ai perdu tous mes moyens.

• Je ne peux rien vous payer car je suis une vache maigre.

• Je ne regarde jamais la télé, c’est à cause de ça que je ne savais pas qu’il était l’heure de payer mes impôts. Excusez donc le retard.

• Je ne sais pas de quoi vous parlez avec cette histoire de retard pour payer puisque je suis menstrualisé.

• Je ne vois pas pourquoi il faudrait payer des impôts à un gouvernement que je n’ai pas voté.

• Je ne vous ai pas fait de déclaration pour mes impôts parce que j’ai déjà payé l’année dernière.

• Je suis un bon Français, c'est-à-dire un cochon de payant !

• Je vous aurais bien écrit plus tôt si je n’avais pas eu deux pieds dans le plâtre.

• La vignette, la TVA, les contraventions, les taxes, les majorations ! Mais qu’est-ce que vous en faites de tous ces sous ? Vous les brûlez ou quoi ?

• Les 10% en plus que vous réclamez, vous pouvez vous les mettre où je pense c'est-à-dire nulle part !

• Les contrôleurs du fixe m’ont déjà tout pris.

• Ma déclaration n’est pas parvenue à temps parce que le tabac était fermé pour les timbres. 

• Ma paralysie de l’œil m’a empêché de vous envoyer ma déclaration dans le délai.

• Ma surdité dont je souffre depuis 20 ans m’empêche de répondre à vos lettres.

• Merci pour ce que vous pourrez faire et en attendant acceptez donc mes joyeuses cordialités !

• Mes parents ont payé des tonnes d’impôts toute leur vie et voilà que vous recommencez avec moi !

• Moi j’aime bien payer mes impôts parce que je n’en paye pas !

• Personne ne pourra nier que ces définitions sont effectivement à la base des rapports que j’entretiens avec votre centre des impôts depuis plus de 20 ans.

• Pour ce que je dois encore, je ferai ce que je peux et je vous enverrais 10 € par ci 10 € par là.

• Quand vous aurez lu ma lettre, merci de bien vouloir me retourner.

• Quand vous aurez mis tous les Français sur la paille, il n’y aura plus de paille pour personne !

• S’il vous plait, rendez-moi vite le trop percé.

• Si j’ajoute une part de l’enfant que vous me retirez à celui qui va venir je ne peux pas m’en sortir.

• Si je ne vous paye pas, c’est que je ne vous dois rien.

• Si vous m’aviez moins pris d’argent l’année dernière, j’en aurai plus cette année pour vous en donner.

• Si vous me retirez 70% de mes 100% que vous avez réduit à 60% l’année dernière, je ne sais plus s’il faut compter avec la part de 10% qu’il faut déduire.

• Veuillez trouver un chèque de 3€ puisqu’il paraît que je me suis trompé.

• Vous aux impôts, vous connaissez que les chiffres mais pas les sentiments distingués.

• Vous dites que vous n’arrivez pas à lire mon écriture, mais moi non plus !

• Vous en voulez toujours plus ! On vous donne le bras et vous voulez la main !

Je sais bien que nous ne sommes pas en automne, mais les feuilles de déclaration ou de paiement du 1^er tiers des impôts nous arrivent régulièrement pour nous rappeler que nos sous les intéressent… !

L’espoir fait vivre et je ne désespère pas de gagner au loto… !

Confidence pour confidence, j’ai toujours préféré être dans la catégorie de ceux qui paient l’impôt, par rapport à ceux qui n’en paient pas mais qui galèrent pour survivre… !

De mots en mots, elle les assemble et en compose des colliers de perles.

Rien à voir avec les perles d’inculture de mon précédent billet.

Je pense à ceux de Juliette.

Ils sont ciselés et scintillent dés sortis de sa bouche en textes poétiques.

Une artiste qui a construit son succès non avec son physique, mais avec son cœur.

Nous sommes loin des « Lolitas » de la Star Acc façonnées dans le même moule où le cerveau est souvent à la place du corsage ou des fesses.

Juliette interview
envoyé par bisonravi1987

J’ai trouvé cette interview où elle philosophe sur des mots tel que : aimer, physique, amis, influences, folie etc.

Prenez le temps de le regarder, un peu long ; mais quel plaisir… !

Je la cite : «On peut aimer des gens qu’on ne désire pas et désirer des gens qu’on aime ; et, désirer des gens qu’on n’aime pas et ne pas aimer des gens qu’on désire. »

Juliette - maudite clochette
envoyé par bisonravi1987

Juliette - le sort de circé
envoyé par bisonravi1987

Et pour vous faire apprécier le talent de cette artiste, deux vidéos ci-dessus :

caricatures Bickel)

Voici quelques perles qui, je l’espère seront une bonne thérapie pour vos petits bobos de santé.

Pourvu que je n’aie pas d’ennuis pour exercice illégal de la médecine… !

      ●  À cause de ce long bagot, j’ai été arrêté huit jours.

• À  cause de vos vitamines, je saute comme une puce toute la journée.
• C’est dans la neige de la forêt que je me suis fait surgelé le pied de gauche.
• C’est en glissant dans l’escalier du bureau que j’ai descendu plus vite que prévu.
• Des hémorroïdes aux fesses, ça fait rire que ceux qui n’en ont pas encore.
• Douze points de sculpture c’est pas cher payé quand on aurait pu mourir !
• Il a fallu 20 points de soudure pour me refermer.
• J’ai craché tous mes poumons et ensuite ça allait mieux.
• J’ai des ballonnements au niveau des épaules.
• J’ai des bras normaux qui font toute la longueur de mon corps.
• J’ai des dents pleins les gencives.
• J’ai des examens sanguinaires et le labo n’a rien trouvé.
• J’ai des traumatises à tous les genoux de mon corps.
• J’ai du mal à causer à cause des articulations de ma bouche.
• J’ai eu la diftérie et le tétanos en même temps.
• J’ai l’appendicite qui me chatouille quand je ris trop fort.
• J’ai les boyaux du foie tout détraqués.
• J’ai les genoux aussi gonflés que la tête.
• J’ai les mains aussi tordues que mes doigts de pied.
• J’ai passé des années sur le billard avec le ventre ouvert.
• J’ai toujours été hémophile de la fesse.
• J’ai toujours eu le derrière un peu en avant.
• J’ai une dermatose qui fait peur tellement il y en a et c’est dommage parce qu’il parait qu’elle est pas contagieuse.
• J’ai une épidémie d’épiderme.
• J’ai usé trois boîtes de suppositoires en plus parce que je ne savais pas comment les mettre.

• J’ai voulu retirer le suppositoire mais il avait mystérieusement disparu.
• J’avais du sang qui coulait partout comme un torrent furieux.
• Je me réveille tous les matins après des nuits blanches.
• Je n’ai vraiment pas de veine avec les prises de sang.
• Je ne pouvais plus marcher avec toutes ces écharpes que j’avais dans les pieds.
• Je respire beaucoup mieux quand je fume.
• Je souffre mais je ne ressens absolument aucune douleur.
• Je suis tellement nerveuse que je dors tout le temps.
• Je suis bancal de la tête et des jambes.
• Je suis borgne des deux yeux.
• Je suis chauve sur tout mon corps.
• Je suis handicapé du moteur et je ne bouge que quand quelqu’un me pousse.
• Je suis névrosée du genou gauche.
• Je suis polyglotte de la gorge.
• Je suis resté pendant 15 jours avec du sérum psychologique dans le bras.
• Je suis tellement constipé que je n’arrête pas d’aller au cabinet.
• Je suis un peu corpulente des pieds.
• Je suis un travailleur de force qui n’en a plus.
• Je tenais ma blessure d’une main et mon sang coulait de l’autre.
• Le silence était si fort que j’en avais mal aux oreilles.
• Ma jambe droite est plus haute que l’autre d’au moins un mètre.
• Ma jambe est usée jusqu’à la corde.
• Malgré 25 ans dans l’armée, je suis toujours émotif comme une vierge.
• Même mon bassin était plein de luxure.
• Mes jambes sont si grosses que je ne peux même plus bouger les bras.
• Mon trou d’anus est tout bouché d’émoroîdes.
• Ne perdez pas de vue que je suis à moitié aveugle.
• Pour une entorse aux joues, ça ne s’arrange pas.
• Quand je bouge trop fort les épaules, ma canicule se démanche.
• Quand je me mets du coton dans les oreilles, j’ai mal à la cervelle.
• Sans mes lunettes, je ne peux pas voir plus loin que le bout de mes yeux.
• Si je n’ai plus le droit de fumer, je vais mourir à petit feu.
• Si vous regardez mon ventre depuis l’opération, il est dur comme du bois mort.
• Vous croyez peut-être que c’est agréable pour moi de sucer des boîtes de médicaments du matin au soir !

Enfin pour donner des idées aux femmes qui prennent la pilule, vous avez la possibilité de conseiller une solution radicale et tout autant efficace à votre cher et tendre… !

Qui a osé dire que je suis un SURICATE macho… ?

L’ombre calme du soir entre dans ton salon :

N’allume pas encor ta lampe familière,

Dans tes yeux imprégnés de ton amour profond,

L’adieu divin du jour laisse un peu de lumière-

N’allume pas encor la lampe - pour mon cœur,

L’ombre illusoire augmente et doux est son mystère

Qui s’étend sur ton âme et sur notre bonheur.

N’allume pas encor la lampe. Oh ! Non. J’espère.

Dans le soir recueilli, tendrement enlacés,

Goûtons éperdument l’enchantement extrême

Qui nous vient de nos cœurs, l’un par l’autre bercés.

Je ne vois plus tes yeux. Embrasse-moi. Je t’aime.

Damoclès Vieux

Poète haïtien (1876-1936)

Que la lumière soit ! Et la lumière fut … !

A leur façon, ils m’ont chanté cette chatson...!

Pour me dire qu’ils étaient là et que la vie continue… !

Pourquoi les hommes ne s’affrontent-ils pas en duels musicaux… ?

Comme dans le film Délivrance de John Boorman tourné en1972 (et son fameux duel guitare –Banjo).

Je ne résiste pas au plaisir de vous faire réécouter ou découvrir cette scène d’anthologie.

Quatre Américains de classe moyenne, décident de consacrer leur week-end à la descente en canöe d'une impétueuse rivière située au nord de la Géorgie. Ils envisagent cette expédition comme un dernier hommage à une nature sauvage et condamnée par la construction d'un futur barrage. Mais les dangers qu'ils affronteront ne proviendront pas uniquement des flots tumultueux de la rivière...

La musique adoucissant les mœurs, les canards, les triples croches mal négociées ou le contre-ut mal maîtrisé, causeraient moins de dégâts que ces duels fratricides entre factions rivales, où pour l’amour de Dieu on s’entre tue à qui mieux mieux… !

Tu n’es pas dans la bonne mouvance, je suis Chiite, tu es Sunnite, je revendique mon appartenance au Hamas ou au Fatah (Bagdad et ses attentats) etc.… !

Je ne vais pas te chanter les sourates du Coran de peur que tu n’entendes pas mes revendications.

Là, on s’affronte à coups de bombes, les noms d’oiseaux échangés de part et d’autres ne suffisent pas à calmer les belligérants.

Ce n’est pas demain qu’on va y entendre le chant d’une blanche colombe… !