Château Schwerin

Château Schwerin, Lion Museum

Statue Pont Château Schwerin

Statue équestre du Grand Duc Friedrich Franz II

Détail piédestal statue équestre

Piédestal statue équestre

Piédestal statue équestre

Piédestal statue équestre

Parc Château Schwerin

Lac Pfaffenteich Schwerin

Schwerin L'Arsenal,

autrefois siège de la police populaire de RDA.

Croix gothique cathédrale Schwerin

Nativité Cathédrale Schwerin

Adam et Eve Chapelle Château Schwerin

Un peu d’histoire

On dit que Schwerin est la plus vieille ville allemande à l’est de l’Elbe.

Entourée de plusieurs lacs, elle fut fondée en 1160, et si en fait Lübeck est encore plus ancienne, elle peut s’enorgueillir de posséder le plus beau siège de parlement d’un land, celui de Mecklenburg-Vorpommern.

La localité est citée en 1018, plus d’un siècle avant la fondation de la ville, dans la chronique de l’évêque Thietmar von Merseburg. Il y est relaté des combats pour le château de « Zuarin » (parc d’animaux), entre le prince des Abodrites Mistizlav et les Liutizen voisins.

Tableau d’ Hendrick van Avercamp, Musée Schwerin

Le duc des Guelfes Henri le Lion (1129-1195), duc de Saxe et de Bavière, réussit à s’emparer du château en été 1160. « Dux Henricus et Sigillum Civitas Schwerin », c’est ce qui est inscrit sur le sceau qu’utilise Henri le Lion, l’année de sa victoire, pour donner le statut de ville à la colonie.

Dès 1171 la première église est consacrée, un siècle environ plus tard, commence la construction de la cathédrale gothique qui ne reçut qu’en 1892 son imposante tour de 117,5m.

La cathédrale, des parties du château et un peu des vieux remparts sont aujourd’hui les uniques témoignages du Schwerin moyenâgeux.

Schwerin a très peu souffert des ravages de la dernière guerre mondiale.

La physionomie actuelle de la ville est à mettre à l’actif de Georg Adolph Demmler (1804-1886), nommé architecte de la Cour. Le château entièrement reconstruit entre 1845 et 1857 principalement d’après ses plans.

Influencé par un voyage d’études en France, Demmler impressionné par le château de Chambord, la façade du château de Schwerin présente dès lors de grandes similitudes avec l’original français.

Sans Demmler, Schwerin ne serait pas ce qu’elle est.

Depuis l’Unité Allemande, elle est capitale du Land de Mecklenburg-Vorpommern.

Toutes les photos sont des photos personnelles, sauf les deux dernières.

(Photo perso)

Il serait temps de clôturer cette saison de chasse, catastrophique pour les chasseurs.

Anti chasse
envoyé par avataranedotas

Ce n’est pas parce qu’un jour, Adam et Eve, se sont fait plomber par le Diable, qu’on ne va pas fêter cette fermeture… !

div>
Argens, fermeture chasse 064
envoyé par mitchou2

Heureusement que pendant que nos valeureux amoureux de Dame Nature, s’encanaillent, d’autres vrais amoureux s’occupent d’entretenir amoureusement leurs chefs d’œuvres du style « Art Con » … !

Anti-hunting Anti-Jagd Anti-chasse Anti-jacht
envoyé par antishitstem

Je n’aime pas croiser des motos ou 4X4 en pleine nature, mais pour un tel usage, je révise ma position… !

Comme lors de mon précédent billet, je redonne la parole aux chasseurs en mettant en ligne un cours magistral sur la sécurité… !

Le Summum, d’une réalité à donner froid dans le dos… !

Je vous laisse juge.

La passion de la chasse !!!
envoyé par yannick93

Un regret, j’aurais aimé avoir de tels pédagogues qui m’auraient enseigné l’amour de la Nature, je n’en serai pas à les critiquer, mais déguisé en guerrier je tirerai sur tout ce qui bouge, y compris sur moi-même, qui n’ai jamais rien compris au plaisir de tuer des animaux, afin d’alimenter la rubrique :

« Accident de chasse…! »

Je ne terminerai pas ce billet sans une note optimiste: Des anciens adeptes n’ont pas hésité à raccrocher.

Encore un petit effort et mon gentil écureuil pourra encore se faire tirer le portrait.

(Photo perso)

(Sculpture Tremois)

Ce matin, j’ai reçu un cadeau par *collissimo… !

J’en suis ravi, vu la défaillance de mes deux abrutis, je n’aurais plus qu’à appuyer sur les touches et … !

Je pourrai consacrer plus de temps à m’occuper… de mes amis… !

C’est qu’ils sont quémandeurs.

Jamais rassasiés.

*Je demande à la personne qui m'a envoyé le collissimo de bien vouloir m'adresser dans les plus brefs délais, la somme de 3,55€ , pour affranchissement insuffisant, ainsi que des piles de rechange, j'ai peur de ne pouvoir tenir jusqu'au 6 janvier, jour des rois ou de la Befana...!

P.S: Je recherche une collaboratrice, ayant du doigté, pour de temps en temps

lui confier la télécommande; je n'ai pas 36 mains...!

(Photo Wang quinsong)

Bon Noël

Prieuré de St Julien à côté d’Olargues

Le Prieuré avec un parking, super tranquille qui peut être le point de départ d’une superbe ballade pour rejoindre les cols d’Ourtillades et Montahut, en passant par Les Castagnés et le hameau d’Auziale.

Le prieuré avec même emploi de pierre volcanique, comme à St Pierre de Rhédes

Vallée d’Olargues, croix à côté du prieuré

Le Caroux, vue au dessus hameau d’Auziale.

Le Caroux, à gauche début des gorges d’Héric, au pied St Martin d’Arçon.

(Photo prise des ruines de la tour de Vieussan)

Le Caroux

(Photo prise à l’ouest de St Martin d’Arçon)

L’Orb en direction d’Olargues.

A l’horizon en haut à droite, Roc d’Ourtillades et Montahut.

(Photo prise du pont de Tarassac)

L’Orb, avec le Caroux en direction de Lamalou les Bains.

Vieussan

(en haut, à droite tour)

Vieussan

Le Caroux

(Photo prise à partir de la tour de Vieussan)

Vallée de L’Orb en direction de Roquebrun

(Photo prise à partir de la tour de Vieussan)

Vallée de l’Orb

Haut gorges d’Héric, GR 7

(Photo prise au col de l’Airoles)

Cabane dans les châtaigniers

Toit en lauzes

Ruines vers col d’Ourtillades

Ruines entrée hameau d’Auziale

Avion au dessus Roc d’Ourtillades

Fougères

Eglise de Douch

Étoile dans le Caroux

(Photo prise à côté église de Douch)

Croix cimetière de Douch

Troupeau

Le berger

(Photos prises à Valquières avec l' accord du Berger)

La bergerie

(Photo prise sur le plateau entre Dio et Valquières)

La moissonneuse lieuse

Le treuil

(Photo prise à Vieussan)

La 203

(Photo prise sur sentier de la chapelle de Capimont

Arbre fantôme

(Photo prise dans bois de St Michel de Moucairol)

Vu, je vous ai à l’œil

(Photo prise dans bois du ¨Poujol sur Orb)

Un de mes protégés

Un autre

Avez-vous pensez aux enfoirés… ?

J'avais choisi une trentaine de photos, pour vous souhaiter un Bon Noël,

mais que Nenni, pas moyen de les insérer...!

En attendant d'y arriver, je retourne me chauffer, la Miss elle me donne froid...!

En complément du premier billet, pour ceux qui ont loupé le premier :

http://mesgrainsdesel.canalblog.com/archives/2007/06/02/index.html

- Je ne sais plus, qui a eu l’idée, d’obliger la femme à enfanter dans la douleur… ?

Il aurait mieux fait de moins se hâter à dire des conneries, d’autant plus qu’il suffit d’être athée pour ne pas les prendre pour paroles d’évangile. De toute façon avec l’accouchement sans douleurs, les douleurs, les parents les ressentent plus de vingt ans après. J’ai bien dit les parents, alors toi, la Nana féministe jusqu’au bout des ongles, je te signale que nous les mecs,

non contents de ressentir les douleurs de l’accouchement que la péridurale a escamoté, on assume avec notre douce moitié le fruit d’un moment d’égarement… !

Pourtant, ils s’étaient fait une joie d’annoncer l’arrivée de celui ou celle qui allait transformer leur vie en enfer.

(Dessin Denis Kormann)

S’ils avaient su… ! Le mot joie aurait été remplacé par douleur, et là, on casait la douleur disparue de la maternité.

Ils avaient voulu faire comme tout le monde, jouer au coq et à la poule, comme si on n’était pas assez sur terre… !

Ils n’avaient pas envisagé un seul instant qu’ils allaient se farcir un petit monstre, qui avec l’âge ferait ses 2 mètres et ses 95 kgs à 15 ans… ! Non content qu’à cet âge là tu ne leur mets plus les chaussons de laine tricotés par la Mamie, le marmot il chausse du 48… !

(Dessin Rulo)

Pour les tartes, pas question d’essayer de lui en refiler une, tu n’as plus que la solution de le traiter de « petit con » en te tenant à distance, car vu la taille de ses menottes… !

Je ne sais pas qui a eu cette idée folle un jour d’inventer l’école, mais depuis, le petit Charles, il a décidé d’user ses culottes le plus longtemps possible sur les bancs de l’éducation et pas question qu’il se magne.

Pas fou, il s’incruste le plus possible, nourri, logé, blanchi, entretenu ; pourquoi il n’en profiterait pas un max… ?

Attends tu ne sais pas tout, toi l’impuissant qui n’a jamais semé à tous vents, (n’est pas Larousse qui veut).

Le chérubin, boutonneux il t’impose les potes et les cops, fini de te prélasser sur ton canapé,

(Dessin Denis Kormann)

la télécommande prête en permanence pour profiter de ta télé plasma H.D de 1,60 m ; il est squatté en permanence par la bande ; tes bibines, ton whisky et des meilleurs cigares t’as intérêt à les mettre au coffre, si tu ne veux pas te ruiner.

Et le téléphone… ! Et Internet… ! Et les fringues… ! Et l’argent de poche… ! Il n’y a pas que les  genoux des jeans de troués ; les poches, tu mets la main et tu te grattes les chevilles direct, alors le pognon même pas le temps d’y séjourner… !

Au début, tu joues au Père Noël, c’est mignon et tu te dis vivement qu’il découvre le pot aux roses ; servir de potiche, ça va un moment mais à force de couper des roses, t’es vite déplumé… !

Eh ! Bien ! Non ! C’est que le morpion il y a prit goût, et tu continues à jouer le Père Noël, ils adorent à partir du moment où tu casques… !

Et tutti quanti… !  Ton compte en banque il est en permanence sous perfusion.

(Dessin  René Pellos)

Pas pressé de déménager, jusqu’au jour où il t’annonce la bonne nouvelle, celle que tu n’espérais plus :

Il a perdu la tête (Ouf ! Pourvu qu’il ne la retrouve plus) : Il est amoureux et décide de convoler.

Enfin, il va débarrasser le plancher.

En attendant, comme il ne travaille pas, tu casques à nouveau, car si tu as pu éviter le passage à l’église, pas question de faire la noce avec les parents et deux témoins ; le vin d’honneur et le repas pour une centaine de morfales tu y laisses le pognon que tu as essayé d’économiser pendant de nombreuses années, pour aller visiter l’île de Lesbos, où vu les mœurs de ces dames, tu étais sûr de ne pas rencontrer tous les gamins de la création. Ce n’était pas écrit dans la brochure, « La ligue des parents maltraités » me l’avait conseillé.

La fiesta terminée enfin la liberté retrouvée… ?

C’était oublier que nos deux tourtereaux ils n’ont pas de nid d’amour… et c’est reparti, pour ne pas dire, ça continue… !

Les années passent, les cheveux blancs apparaissent, jusqu’au jour où ta bru ayant enfin trouvé un job, après de longs mois à essayer de ne pas en trouver, ils ont droit à un logement. Faut être con pour se prendre en compte, vu qu’avec les allocations chômage, le R.M.I et tout ce qu’ils ont pu gratter à droite et à gauche, faire du lard chez papa maman c’était cool… !

Tu n’as même pas le temps de réintégrer ton canapé, bien abîmé et ta télécommande que, n’ayant pas écouté tes conseils avisés ils te cassent le moral.

(Dessin Denis Kormann)

Papa ! Tu vas être Papi… !

Fini l’espoir d’une vie bien tranquille.

Retour à la case départ, avec les petits enfants.

Mon vieux guide du routard il va falloir que je le remplace par le guide du moutard.

Quand l’enfant paraît les emmerdements commencent, et pas seulement dans les couches culottes… !

Putain de gosse … !

Comme disait Petit Gibus : « Si j’aurais su, j’aurais » pas gardé mes machins, ou alors je me serai fait curé, j’aurais été moins athée de goûter à la chair, et si j’avais cédé à la tentation du diable, mes enfants auraient pu être *fils d’Archevêque… !

*Sur une carte de visite, c’est autant prisé que la médaille de la famille… !

Chris, combien de mots étoilés,

As-tu accroché à notre voie lactée ?

Comme un gosse, j’ai suivi émerveillé,

Leur envol vers la voie Lactée.

Je n’ai pas trouvé les mots pour te retenir,

Sans bruit, tu es parti pour ne plus revenir.

Je sais que tu ne refermeras pas la porte,

Je te rejoindrai quand mon étoile sera morte.

Les mots terribles: Hommage à Chris

François Béranger - Les mots terribles
envoyé par Quarouble

« Tous ces mots terribles qui font des chansons parlant de misère, d’ennui, de prison, ne sont que des leurres chassant nos démons. Bâillonnant la peur, pendant un moment. Chanter, c’est pas vivre, mais c’est l’espérer. Chanter, c’est survivre, quand on est vidé. Vidé de ses illusions, tout nu et tout con. Essoré, déboussolé, cassé, piétiné. Je ne suis ni meilleur ni plus mauvais que vous. Contre vents et marées, envers et contre tout, j’ai chevillé dans le cœur un rêve de bonheur. Un jour nouveau qui se lève chasse mon chagrin. Un geste, un regard, un mot, un ami qui vient, deux arbres dressés dans le ciel, la lune et la nuit Deux amoureux dans un champ font comme leurs parents. Une fille qui revient d’un voyage très loin. Tous ces mots terribles qui font des chansons. »

Les photos sont du photographe ALMAGNUS,

je sais que tu les aimais bien .

Pas de la chasse,  mais du vibrant hommage qui leur est dû.

Je ne vais pas leur tirer dessus sans arrêt, à force, ils vont me contacter pour prendre le permis de chasse.

Ce n’est pas la St Hubert, j’ai simplement envie, en signe d’apaisement,  de leur souhaiter leur fête en avance… !

Vous savez pour ceux et celles qui supportaient mes billets acides, que je ne fais pas toujours dans la dentelle quand je parle d’eux et combien je les adore.

J’ai choisi de les mettre à l’honneur comme il se doit.

Ce billet pour détendre l’atmosphère est publié dans la catégorie humour… !

J’aurais aimé pour créer l’ambiance,  mettre en musique de fond un concerto pour cor de Mozart ; hélas si j’arrive à mettre des vidéos, je n’ai pas encore atteint le stade de compréhension pour insérer un lecteur de musique.

Toute aide sera la bienvenue.

Ouvrez le ban… !

Pour commencer  sonnerie des cors lors d’une messe ; ça fait de suite plus sérieux d’aller à la messe pour se confesser du non respect d’un des dix commandements :

Tu ne tueras point… !

Trompe de chasse-Messe de St Hubert
envoyé par cranou

Apres avoir été béni et absous, nos équipages grands amateurs de chasse à coure, sous la houlette du Baron du HautBbois de La Poule Piquet peuvent retourner écouter le son du cor au fond des bois lors de ces traques… !

Vous ne connaissez pas ?

Voici un extrait d’un autre Baron…. !

Elie.Annonce.Semoun.La.Suite.De.La.Suite532146354564
envoyé par Flow94310

Ils ne sont pas tous comme ce brave Baron.

Et aller à la chasse, c’est aussi écouter le chant des oiseaux.

Fabien Kachev - Le chasseur
envoyé par Gethro54

Le problème c’est que de temps en temps, St Plomb veille au grain, et ce n’est pas qu’avec du gros sel… !

chasseurs
envoyé par occitan34

Je sais, c’est un peu lourd, mais si on ne peut plus rigoler autant aller chasser les fantômes, on est sûr de ne pas les toucher.

Mon Blog se voulant un espace de liberté où l’on prend et emmène ce que l’on veut, je laisse la parole aux chasseurs. Sympa le Suricate ; vous jugerez en votre âme et conscience.

St Hubert Spicheren 2007
envoyé par aschpatz

Juste une petite remarque personnelle, je me demande s’ils vont tous pouvoir prendre leurs permis de chasse en 2008, vu tous les 4X4 qui vont être taxés… !

On aura alors moins d’accidents, de quoi alimenter la polémique chez les lapins.

(Dessin Bern-Art)

(Dessin de Mibé)

Jacqueline de Romilly, en introduction de la chronique, Petites embûches du bon français, écrit :

« Dans une scène fort amusante de sa comédie intitulée Le Dindon, Feydeau nous présente une Anglaise très agitée qui parle français et commet des erreurs. En particulier, elle confond des mots presque synonymes et son interlocuteur la reprend à chaque fois. Elle parle ainsi d’une gueule de gaz et on lui dit qu’il faut dire « bec » ; alors elle parle de bec de loup et on lui dit qu’il faut dire « une gueule » ; alors elle parle au monsieur de sa gueule et on lui répond qu’il faut dire « bouche ». Ce sont pour nous des mots familiers, l’effet comique est assuré. Mais, en même temps ; il attire notre attention sur toutes ces petites différences qu’implique la connaissance d’une langue ».

Quand à la grammaire… !

(Dessin Plantu)

Le propos de ce billet n’est pas de vous faire un cours de grammaire, ni de vous apprendre à ne  pas confondre votre grand-mère et la grammaire, ne possédant ni les qualités de la première ou la parfaite maîtrise de l’autre. Simplement à travers une allégorie (Le genre Allégorique fut particulièrement utilisé au XVIIe siècle), vous faire découvrir ou redécouvrir un peintre et une de ses œuvres.

Vers 1650, Laurent de la Hyre (1606-1656), peignit les sept figures des *Arts libéraux qui en sont un bel exemple. Les coloris clairs et lumineux, le modelé lisse des visages, la délicatesse de la facture caractérisent ces œuvres.

(Tableau de La Hyre)

Dans celle-ci, la Grammaire est représentée sous les traits d’une jardinière : les règles du langage qui ont permis à l’humanité de se développer en améliorant sa culture sont identifiées au principe qui régissent le soin du jardin. Figure bienveillante, maternelle la jardinière arrose consciencieusement ses primevères et ses anémones cultivées dans des pots, faut-il y voir l’instinct maternel de première nourriture… ? Ainsi nourries et disciplinées, les plantes fourniront de belles fleurs. En arrière plan opposition entre  les fûts de colonne, parfaitement droits et les troncs d’arbres penchés et sinueux.

Dans sa main gauche, la Grammaire tient un **phylactère dont le texte rappelle que les mots doivent être prononcés clairement et disposés logiquement.

Grâce à sa jardinière, les règles austères de la langue prennent un visage charmant et agréable.

* Les arts libéraux trouvent leur origine dans les ouvrages de Martianus Capella (Ve siècle).

C'est Cassiodore au VIe siècle qui leur a donné leur structure. Il a développé le trivium, qui regroupait les disciplines littéraires :

La grammaire,

La rhétorique,

La dialectique.

Son contemporain Boèce définit le contenu du quadrivium, ou quadruple voie, qui regroupait les disciplines scientifiques :

L’arithmétique,

La géométrie,

L’astronomie,

La musique.

** HIST. DE L'ART. Banderole, aux extrémités enroulées, portant les paroles prononcées par un personnage ou la légende du sujet représenté, surtout utilisée par les artistes du Moyen Âge et de la Renaissance.

En fait, un peu l’ancêtre de nos B.D.

Sources :

- Wikipédia

- T.L.F

- Dans le jardin des mots de Jacqueline de Romilly

Lien à utiliser sans modération pour, les amateurs d’art.

http://www.wga.hu/

Je me suis laissé dire, non sans mal (étant un peu dur de la feuille), que dans quelques jours il y aurait des grèves… !

Ben ! Dis donc, ça existe encore… ?

Au fait, les précédentes sont déjà terminées… ?

Mais qu’ils sont « Cons » ces grévistes à ne pas savoir ce qu’ils veulent :

Tu veux ou tu ne veux pas ?

Ils auraient pu s’économiser un préavis en ne faisant qu’une grève directe ; mais non, afin de se démarquer, ils nous en mettent une « Omnibus », façon de se rappeler le bon vieux temps, où on laissait le temps au temps:

Arrêt, Buffet, tout le monde descend !

Suivi de :

En voiture messieurs, dames, attention à la fermeture de la circulation… !

Tu parles d’une façon de nous emmener en bateau, comme croisière, il y a mieux.

Même pas au courant, il faut dire qu’en France profonde, les transports en commun ils sont individualisés et sponsorisés par l’amicale de St Jacques… !

(Photo Perso)

Ah ! Non !

Ne me dites pas que vous n’avez jamais utilisé ce moyen de locomotion garanti écolo, qui préserve la couche d’ozone… ?

D’autant que pour les régimes sans sel, c’est excellent.

Quand aux régimes spéciaux… ?

Regime special

Comment ? J’ai encore déconné ?

Vous allez m’allumer ?

En prévision de vos attaques, je vous présente mes amis les « *Canards » qui se feront un plaisir de vous canarder si d’aventures vous utilisez d’autres munitions que le gros sel !

envoyé par mozinor

Chasseurs Chassés, Mdrrr
envoyé par The-Phantom

*Je n’aime pas les « Pubs », mais celle là, je la savoure en attendant de boire un coup à la santé de nos braves **chasseurs, je ne vais quand même pas les laisser s’abreuver à la claire fontaine… !

Il y a longtemps que je ne les ai pas mis à l’honneur, je vais y remédier bientôt.