Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Grains de sel

17 août 2013

Le château féodal de Bressieux, en Isère

Panorama 4

 

(Cliquez sur les photos pour agrandissement)

Campé sur une hauteur, le château féodal de Bressieux témoigne encore par ses ruines majestueuses en brique roses, du rôle militaire qu’il a joué au Moyen Âge. De la forteresse, édifiée dans la seconde moitié du XIIIe siècle, subsistent dans un bon état de conservation les tours portières

 

DSC07128

 

et le haut donjon cylindrique.

 

DSC07134

 

Apparue aux alentours de l’an Mil, la seigneurie de Bressieux est l’une des plus anciennes et des plus puissantes du Dauphiné. Des croisades aux guerres de religion en passant par les guerres d’Italie, les seigneurs de Bressieux s’illustrèrent comme les alliés des dauphins et des rois de France.

 

DSC07166

 

Maîtres incontestés sur leurs terres, ils y rendirent la justice, accordèrent des privilèges et reçurent des doléances de la part des communautés villageoises. Les seigneurs de Bressieux portent le titre de baron jusqu’à ce que Louis XIII érige leur prestigieuse baronnie au rang de marquisat en 1612.

 

DSC07131

 

Les armoiries sculptées au dessus de l’entrée du château avec au centre, les armoiries des familles de Bressieux, Grolée et Mévouillon sont supportées par deux licornes. Elles sont surmontées du heaume de grand baron primitif et d’une tête de lion, symbole de puissance, d’où part un lambrequin. Les cordons du bas évoquent un signe de veuvage. Un petit musée, situé à proximité de la tour « Rambaud »,

 

DSC07118

 

vestige de l’ancien rempart de la ville, retrace l’occupation humaine de Bressieux de la préhistoire jusqu’à l’époque moderne. Une maquette montre la forteresse de briques à l’époque de sa construction.

 

DSC07154

 

 Le mobilier archéologique retrace la vie du château, les objets de la cuisine,

 

DSC07155

 

blasons etc.)

 

DSC07160

 

***

 

DSC07161

 

Dans l’église un tableau de la fin du XIème siècle représentant une allégorie de « l’église enchainée »

 

DSC07111

 

 et un autre du XVIIème qui constituait vraisemblablement la partie centrale d’un retable,

 

DSC07110

 

montre la vierge entourée de St Michel et de St Roch (saints protecteurs de l’église).

Je vous invite à une visite plus complète avec ce montage vidéos-photos.

 

Publicité
Publicité
8 août 2013

Quand on a un œuf à la place du cerveau… !

 

1

(Dessin trouvé chez nectarine centerblog)

Fut-il même de la grosseur d’un œuf de poule, les producteurs d’œufs de la région de Carhais, n’ont pas fait preuve d’intelligence, mais comment réfléchir

 

2

 

 avec un œuf dans la tête en détruisant plus de 100 00 œufs.

 

3

 

Il ne leur est pas venu l’idée que cette omelette aurait permis à des personnes en difficulté d’en profiter leur évitant de glaner les poubelles. Les différentes associations caritatives, restos du coeur, secours catholique, etc en auraient fait un meileur usage...!

 

4

 

L’impact aurait été meilleur, en attendant je ne ferai plus d’omelette ni d’œufs à la coque pendant 1 mois.

 

5

 

Bouh ! Je suis écœuré… !

 

6

 

(Dessin trouvé chez nectarine centerblog)

 

4 août 2013

Trésors de la Chine ancienne, bronzes rituels de la Collection Meiyintang...!

 

bronze

En Chine, les plus anciens témoignages concernant le bronze proviennent du Nord-Ouest du pays. Un couteau coulé dans un moule unique en pierre, découvert au Gansu, appartenait à la culture néolithique de Majiayao (2700 av. notre ère.

 

DSC05852

 

C'est dans les tombes de l'aristocratie Shang et Zhou que sont retrouvées des milliers de bronzes dont certains sont exposés lors de l'exposition. Dans celle de l'épouse du roi Wuding des Shang, Fuhao, prêtresse et général en chef des armées. Des centaines d'objets en bronze, deux mille pièces de mobilier funéraire et une gigantesque cloche ont été exhumés en 1976. Plus de 30 000 fragments de modèles et moules en terre cuite sont sortis de la fouille de la fonderie de Houma au Shanxi. Le bronze est un alliage de cuivre et d'étain.

 

DSC05901

 

Sa couleur dépend du pourcentage d'étain dans l'alliage. Les nuances varient du rougeâtre, au blanc argenté en passant par le jaune orangé au gris. Les inscriptions sur les objets racontent l'investiture d'un fief, l'attribution d'un titre ou la célébration d'un exploit militaire.

 

DSC05861

 

L'art des Shang correspond en Chine à la période de l'âge du bronze, de -1700 à -1100 av. JC. Cette civilisation brillante a laissé des témoignages écrits, des monuments et une profusion de très beaux objets en bronze. La civilisation des Shang (ou Chang) s'est épanouie le long du Fleuve Jaune au nord de l'actuelle Chine.  Elle marque les débuts de l'histoire en Chine.

 

DSC05921

 

L'art des Shang s'exprime dans la production de bronzes où il fait preuve d'une très grande virtuosité et d'un grand esprit créatif qui n'a jamais été dépassé depuis. Une partie de ces objets était déposée dans les tombes des aristocrates et devait leur assurer confort et protection dans l'autre monde. Succédant à la dynastie Xia, la dynastie Shang (商朝, shang chao) est la première dynastie historique impériale de Chine. Les vestiges qu’ils restent de cette dynastie indiquent qu’elle a mit fin aux mythes et légendes pour se consacrer aux faits historiques.

 

DSC05856

 

Je vous invite à regarder le montage photos de cette exposition sur les bronzes rituels, réalisé après ma visite au Musée Guimet.

31 juillet 2013

Fresques de l’Église de St Paul D’izeaux (Isère)… !

 

DSC07030

Cette église aurait été une dépendance de l’abbaye de Saint-Paul fondée en 1117. D’origine médiévale, elle a été fortement reprise au XVIIe, puis au XIXe siècle. Elle conserve néanmoins quelques vestiges romans, notamment l’abside aujourd’hui totalement englobée dans un chevet plat dont on perçoit encore une baie en plein-cintre.

 

DSC07014

 

Blotti entre Parménie et le Camp de César, le village de Saint-Paul-d’Izeaux en Isère était dénommé Bellevue sous la révolution française de 1789, pour son panorama sur la plaine de la Bièvre, et conformément à l’usage de cette époque où l’on supprimait les saints patrons. Depuis quelques années, son église peut en effet satisfaire la curiosité du pèlerin.

 

DSC07015

 

En 1989, divers travaux extérieurs ont été exécutés dans le but de dissocier artificiellement l’église de la mairie attenante (aménagée dans l’ancien presbytère, ce dernier adossé à l’église autour de 1600). En 1993, l’association de sauvegarde du patrimoine local, avec l’aide de la municipalité et du Conseil général de l’Isère, entreprit la restauration intérieure.

 

DSC07005

 

 La peinture du chœur (datant de 1907, signée de L.Guinhald)  et les peintures au pochoir de la nef (datant de 1920, signées de C.Villot, décorateur à Grenoble) étaient noircies et craquelées. Sur les conseils de M Boubert, architecte des Bâtiments de France, on confia les travaux à M Prieur, artiste-peintre fresquiste. Par l’heureux concours de saignées réalisées par l’électricien, l’artiste aperçut divers tons dans l’épaisseur des badigeons, sur l’intrados de l’arc triomphal. Il en discerna six, vraisemblablement un par génération, pour finalement découvrir des fresques datées par la suite du début du XVIIème siècle.

 

DSC07006

 

Le dégagement des peintures à l’huile fut décidé et effectué centimètre par centimètre avec la panne d’un marteau d’horloger. Le risque d’une telle décision fut récompensé par la découverte d’un ensemble harmonieux de personnages. Attribuable à François Chambon (peintre local de Pont-de-Beauvoisin),

il représente Saint-Paul

 

DSC07019

 

flanqué de quatre anges

 

DSC07016

 

avec, en dessus, Dieu le Père bénissant et tenant le globe.

 

DSC07027

 

L’église comporte également une borne romaine milliaire qui sert de support au bénitier.

 

DSC07020

 

Sur laquelle figure l’inscription :

IMP CAES
 FL   VAL
CONSTANTINO
P   F
AVG

(IMPERATORI CAESARI
FLAVIO VALERIO
CONSTANTINO
PIO  FELICI
AUGUSTO)

"À l'empereur César
Flavius Valerius
Constantin,
Pieux, heureux",
Auguste

 

Sources : Françoise Dye et  Patrimoine en Isère

22 juillet 2013

Nous allons tous passer à la *trappe… !

 

trappe

(Caricature Tonv ?)

Une fois de plus les gentils barbus allument le feu, se foutant comme de l’an 40 de nos lois.

Qu’il y ait des musulmans qui veulent pratiquer leur religion ne me dérange pas à condition de le faire dans le respect de nos lois et coutumes.  Ce qui m’amène à cette réflexion est le fait que j’hallucine toujours quand je vois des journalistes femme qui sont obligées de porter un voile quand elles font des reportages dans des pays dit musulmans.  

 

cocorico

 

Que ce gentil mari commence à admettre que la France n’est pas (pour le moment, mais pour combien de temps… ?) un pays musulman.  Je n’accepte vraiment pas que sous prétexte d’égalité, une partie des musulmans de France veuille imposer cette situation à un pays qui est historiquement chrétien «  je reprécise que je suis athée ».  Si nos gouvernants de France et de l’Europe ne se décident pas à ouvrir les yeux, je ne donne pas cher de nos libertés et de notre laïcité… ! 

 

erreur

 

(Photo prise à Lampedusa, cherchez l’erreur...?)

 Regardez les mesures prises en Italie (Lampedusa) où les prétendants à l’immigration clandestine ont manifesté pour refuser de donner leurs empreintes digitales… ! (Merci Chris pour cette info).

Les fauteurs de trouble qui ont profité de l’aubaine pour se livrer à leur passe temps favori : tout casser, vont prétendre que les policiers ont obligé la fatma à soulever le niqab, ce qui est interdit dans un France islamisée.

 

contrôle

 

Je n’ai rien contre les musulmans et la religion islamique. Ce qui me dérange par contre c’est qu’on veuille imposer à la société française cette religion sous l’autel de l’égalité pour tous. Ceux qui voulaient imposer le voile à l’école,  ceux de nos jours qui réclament l’édification de mosquées, qui souhaitent de voir les hommes porter la barbe, et autres vœux incongrus, pourquoi ne vont ils pas vivre dans un pays musulman comme le font par exemple les juifs qui décident d’immigrer en Israël pour vivre leur foi dans de meilleures conditions.

Non à l’islamisation de la France,  n’en déplaise à certains… !

 

cygne

(Photo perso)

 

En attendant je prends des leçons d’envol, pour envisager de retourner à Suricatland.

*Trappe” est issu (vers 1175) d’un francique trappa (piège). Dans le vocabulaire de la chasse, la trappe est un piège, constitué d’un trou recouvert de branchage ou d’une bascule, servant à attraper les animaux. Par extension ce mot deviendra, au XIIIe siècle, un terme de charpenterie désignant un panneau mobile obturant une ouverture dans un plancher ou un plafond (entrées de cave ou de grenier). Ainsi en 1842, ce terme désigne la partie mobile pratiquée dans la scène d’un théâtre servant à faire disparaître subitement une personne sous les yeux ébahis des spectateurs. Le fait de soustraire brutalement quelque chose à la vue en le faisant tomber dans un trou s’auréole d’une certaine connotation négative. C’est pourquoi l’expression “passer à la trappe” se dit lorsque quelque chose a été oublié, relégué aux oubliettes du jour au lendemain. (Ce qui nous pend au nez pour notre laïcité).

Publicité
Publicité
12 juillet 2013

Keith Haring au Musée d'Art Moderne de Paris...!

DSC03472

 

Le Musée d'Art Moderne de Paris consacre une rétrospective à l'artiste américain Keith Haring. Cette exposition permet d'appréhender l'importance de son œuvre et plus particulièrement la nature profondément "politique" de sa démarche.

 

DSC05704

 

Plusieurs thèmes y sont abordés: L'individu contre l'état. Le capitalisme. Les œuvres dans l'espace public. La religion. Les Mass Media. Le Racisme. L'écocide, menace nucléaire et apocalypse. Les dernières œuvres, sexe, sida et mort. Keith Haring était habité par l'obsession de dessiner, d'une manière spontanée, sans travail préparatoire.

 

DSC05629

 

 Il y mettait toute son énergie, réalisant à chaque fois une véritable performance. Dessiner était pour lui un geste politique; se sera aussi dans les derniers mois un acte de résistance face à la mort.

L’individu contre l’État :

 

DSC05637

 

Dès ses premières œuvres, Keith Haring s’oppose au pouvoir et à l’État. Il croit résolument en l’individualité et en la liberté pour chaque individu. Il dépeint alors l’artiste graffeur attaqué par des chiens qui aboient,

 

DSC05638

 

le personnage déchiqueté par quatre mains géantes ou celui qui casse le bâton avec lequel on vient de le frapper. Haring a également représenté ce personnage à l’allure de robot qui vise les personnes anonymes marquées d’une croix comme des cibles. L’artiste dénonce, à travers certaines de ses œuvres, les groupes stéréotypés et classifiés par l’État, et dénonce aussi les êtres qui oublient leur propre individualité.

 

DSC05648

 

À travers sa rébellion contre « l’establishment » et à travers ses performances, il adresse ainsi des messages défiant l’autorité de l’État sur l’individu.

Capitalisme :

 

DSC05647

 

Radical dans son rapport au monde consumériste, Keith Haring règle ses comptes et livre une critique acerbe du capitalisme et de la société de consommation.

 

DSC05686a

 

 À travers certaines de ses œuvres, il s’insurge contre l’hégémonie des États-Unis et du dollar. Il admire Andy Warhol qu’il déclinera en Mickey Mouse dans plusieurs des ses œuvres.

 

DSC05653

 

Par ailleurs véritable artiste homme d’affaires, Andy Warhol encourage Haring à ouvrir en 1986, un Pop Shop sur Lafayette Street où tous les objets vendus (tee-shirts, casquettes…) sont à l’effigie de ses œuvres, dans un décor imaginé par lui-même, reprenant l’idée chère à Haring de l’art accessible à tous.

Les œuvres dans l’espace public :

 

DSC05657

 

Dès son installation à New York en 1978, Haring commence à exercer son art dans l’espace public. Il réalise alors des affiches publicitaires altérées en photocopiant par centaine des titres remaniés à partir des collages de manchettes de journaux, et les placarde dans la rue sur des lampadaires ou des kiosques. Les activités urbaines de l’artiste atteignent leur apogée lorsqu’il commence à réaliser ses dessins dans le métro (Subway Drawings) sur des panneaux noirs destinés à recevoir des affiches publicitaires.

 

DSC05658

 

De 1980 à 1985, ses dessins à la craie (plus de 5000) sont à la fois une performance physique et artistique, voire un acte politique : produire de l’art pour tout le monde car visible par tous. Keith Haring a aussi beaucoup aimé collaborer avec les artistes de son temps, graffeurs, musiciens, danseurs, il y avait chez lui une forme de frénésie et de plaisir à produire des œuvres communes et transgressives.

Religion :

 

DSC05697

 

Keith Haring qui a grandi dans un milieu chrétien traditionnel,  considère avec beaucoup de recul et un esprit critique l’Histoire, et notamment celle de la colonisation et de la religion. Il pensait qu’ « une grande partie du mal qui se produit dans le monde est causée au nom du bien (religion, faux prophètes, artistes à la noix, hommes politiques, businessmen…). »

 

DSC05659

 

Dans ses dessins et peintures, des croix pénètrent les corps, se collent aux cerveaux. Haring crée dans ses œuvres tardives des scènes dramatiques dans lesquelles l’Église et ses dogmes sont dénoncés comme nocifs pour la société et l’individu. Néanmoins, tout en luttant contre toutes les « religions de contrôle », il respecte la foi individuelle.

Mass Media :

 

DSC05678

 

Dans ses premières œuvres, Keith Haring évoque à plusieurs reprises la menace de la substitution de notre réalité par les nouvelles technologies que sont les écrans (télévision et ordinateur). Il s’inquiète par ailleurs du danger qui pèse sur la créativité et l’individualité face à l’hégémonie technologique.

 

DSC05665

 

Dans certaines de ses toiles, il peint ainsi, à l’intérieur d’écrans, les thématiques qui le préoccupent comme la puissance atomique, le corps du Christ ou encore Mickey Mouse. La télévision et les écrans d’ordinateur dans ses peintures et ses dessins remplacent parfois le cerveau. Il a lui-même bénéficié très tôt d’une couverture médiatique incroyable et a paradoxalement joué rapidement de la « peopolisation » de sa vie et de ses relations avec Madonna, Andy Warhol, Grace Jones, Jean-Michel Basquiat.

Racisme :

 

DSC05696

 

Keith Haring s’intéresse à de nombreuses facettes de l Histoire, il est notamment révolté par toutes les discriminations dans un monde pour lui empreint de racisme et d’oppression (histoire de la colonisation, guerre du Vietnam). L’homme blanc « mauvais » représente pour Haring le pillage, l’oppression, l’esclavage, la cause de la pauvreté.

 

DSC05702

 

Dés son arrivée à New York, il est fasciné par la diversité des populations, il rencontre et fréquente des minorités qui l’attirent et dont il se sent proche. Tout au long de sa carrière, Harring s’est ainsi attaqué aux problématiques sociopolitiques et a produit un art engagé.

Écocide, menace nucléaire et apocalypse :

 

DSC05672

 

Haring s’engage et cherche à encourager toute action de protection pour sauver la planète. C’est l’époque du développement écologiste. Il défend l’idée que la préservation de l’environnement relève de notre responsabilité. « Nous savons que « les humains » déterminent le futur de la planète. Nous avons le pouvoir de détruire et de créer. » Son engagement personnel se traduit le 12 juin 1982, lors dune immense manifestation contre le nucléaire, par la réalisation à ses propres frais de milliers de posters à distribuer. En 1988, il visite le Musée Mémorial de la Paix d’Hiroshima. Bouleversé, il crée un nouveau groupe d’œuvres évoquant le danger de la guerre atomique.

Dernières œuvres. Sexe, sida et mort.

 

DSC05722

 

Lorsqu’il débarque à New York pour étudier, Haring assume pleinement son homosexualité. Il y vit d’abord  une sexualité débridée, qui transparaît à la fois dans son journal et dans ses œuvres où le sexe est très présent. Lorsque le virus du sida se propage dans les années 1980, la lutte contre cette  maladie deviendra sa bataille la plus personnelle, et dès 1985, la thématique du sida apparaît, comme dans son autoportrait aux pois rouges.

 

DSC05720

 

Il s’engage en réalisant des affiches en faveur des rapports sexuels protégés, afin d’informer sur cette épidémie. Certaines affiches comme « Silence=Death » ont un caractère purement militant.  Il personnifie le virus sous forme d’un énorme spermatozoïde à cornes dans une série de dessins et de peintures. Personnage officiel, il contribue ainsi à divulguer et faire savoir ce qu’on ne disait pas dans les années 1980 sur cette maladie. Touché lui-même par le virus (il apprend qu’il est contaminé en 1988), il décède le 16 février 1990 à New York.

Je vous invite à regarder le montage photos qui vous donnera un aperçu plus complet de cette superbe exposition, visible jusqu'au 18 août au Palais de Tokio.

 

Source: Plaquette exposition.

6 juillet 2013

Je n'avais pas la main...!

DSC05584

Problème + Problème + Problème +

DSC05590

+ Problème...!

DSC06973

= Printemps de "Merde"...!

Heureusement qu'il y a eu une petite amélioration avec:

DSC05703

et avec...!

DSC06023

et aussi avec...!

Panorama 06

et encore avec...!

DSC06219sans oublier...!

DSC06238

J'allais oublier...!

DSC06476

Je me souviens aussi de...!

DSC06902

Un peu de patience, le temps de refaire surface...!

 

 

 

 

 

14 avril 2013

Synthol et Arnica pour vous soulager du Choc Huzac… !

 

01 8j'en-ai-marre

 

(Portrait d’un socialiste Lambda)

A force de prendre des coups, les baisés de la rose commencent à regretter d’avoir choisi Pépé le Mou. De sondage en sondage on se rend compte qu’ils sont de plus en plus nombreux à vouloir se débarrasser de ces pustules rouges, signes de fréquentations douteuses.

 

02

 

(Caricature Biratan)

Leur Messie leur avait promis :

 

03

 

(Caricature Sabine Nourrit)

Ce n’était pas sans compter sur le choc provoqué par le Cas Huzac, mettant en évidence la connivence des banques et de membres du gouvernement ; le peuple traité comme un chien galeux devant se contenter d’un misérable nonos.

 

04

 

Les extrêmes, flairant la bonne affaire pour renflouer leurs troupes, adoptèrent le même slogan :

 

05

 

Le mal était fait, il était un peu tard pour vacciner certains de nos élus contre la galle (euh ! les gaffes) :

 

06 gaffes

 

(Caricature Ygreck)

Mou Président vraisemblablement au courant depuis plusieurs semaines, mis pas mal de temps du haut de son piédestal à ruminer ce plat indigeste.

 

07

 

L’affaire faisant de plus en plus de bruits, sur les bancs de l’assemblée on assista à d’épiques combats, tous les coups étaient permis, c’était à celui qui mordrait le plus profond. Même les anciens édentés firent un nœud à leur mouchoir pour ne pas oublier leur dentier.

 

08

 

La défiance envers nos politiques grandissait, le gruyère était de plus en plus troué.

 

09

 

MouMou devant cette déconfiture se décida enfin à réagir :

 

10

 

Entre deux portes il nous annonça que les ministres allaient devoir se mettre à poil, ce qui ne fit pas l’unanimité, certains commençants à avoir chaud aux fesses.

 

11

 

Une loi devant être prochainement proposée au parlement afin d’obliger les élus à adopter le naturisme, je ne suis pas certain que ces mises à nue vont calmer la suspicion; difficile de cacher quelques richesses douteuses quand on sait qu’une mode actuelle fait les beaux jours des adeptes du tatouage.

 

12

 

En attendant de voir comment vont s’en sortir nos politiques,

 

13

 

Je vous propose de jouer aux fléchettes, pour choisir ci-dessous quel est le parti non pourri… ?

 

14

 

Et si vous avez eu un choc n’oubliez pas de vous badigeonner de Synthol et de prendre quelques comprimés d’arnica, regardez comme ça m’a de suite calmé…!

 

15

 

6 avril 2013

Le déni de grossesse des Socialos… !

 

919088763

 

(Caricature Yral)

Le Cas Huzac, ce n’est ni plus ni moins qu’un simple cas de déni de grossesse. Voilà plusieurs mois que l’affaire prenait de l’embonpoint, et que la baudruche enflait. La future parturiente en nous regardant droit dans les yeux nous jurait qu’elle n’avait pas été visitée à l’insu de son plein gré par l’archange Gabriel, qu’elle prenait la pilule régulièrement, pilule offerte par un laboratoire au dessus de tous soupçons. Pour preuve, le brave ministre touche à tout avait pour une petite rémunération de misère (quelques dizaines de milliers d’euros) prêté  son concours de médecin à la certification de son efficacité avant sa commercialisation.

Hélas il fallut un accouchement au forceps pour que l’ensemble de la classe politique se rende compte que le bébé était bien là.

 

 

12

 

(Caricature Bauer)

La grande famille vertueuse de la gauche, lors des premiers signes d’arrondissement de la taille, avait prétendu que ce n’était que du vent, ils essayèrent de purger le bébé, hélas l’avortement n’était plus possible. Les socialos ne voulaient pas tenir compte de l’avis de l’éminent gynécologue, le Professeur Pléniel, spécialiste des accouchements difficiles dans sa clinique de l’immaculée conception, plus connue en tant que « Sainte Médiapart ».

 

Plenel

 

Ce dernier ayant déclaré à de nombreuses reprises que l’accouchement serait d’autant plus difficile, que le bébé ne se présentait pas par le siège (de député), et que le bébé arriverait tout de même dans un fauteuil (de ministre).

 

Vu les traits tirés de la future mère il pronostiquait la naissance pour éminente, les premières douleurs n’allaient pas tarder à se faire sentir.

Le bébé ayant débarqué sans crier gare, une dernière tentative en jetant le bébé et l’eau du bain ne donna pas les résultats escomptés.

 

bebeeteaudubain

 

 La France a une des meilleures politiques de natalité, mais pour ce pauvre bébé rose, plus personne chez les socialos ne veut en assumer la paternité, quand à connaître le nom du parrain bien malin qui pourra nous le donner.

 

nobaby

 

Je peux par contre parier qu’il n’aura pas comme prénom « François », ce bébé est top dur à avaler pour MouPrésident, ni le prénom d’Harlem, son secrétaire général n’en ayant point exprimé le Désir.

C’est toute la classe politique qui va devoir s’en débarrasser, en attendant je propose qu’il soit mis dans un beau vase

 

vase

 

et déposé bien en vue sur le bureau du Président Bartolone à l’Assemblée Nationale afin de rappeler à nos ministres et députés que lorsqu’on tire un coup de travers, il faut s’attendre à enfanter d'un bébé hors normes… !

 

hors norme

 

D’autre part pour nos parlementaires qui se sentiraient le « cul merdeux », ils peuvent consacrer quelques dizaines d’euros de leurs indemnités à l’achat de couches culottes. N’ayant point (pour le moment) à justifier de leurs dépenses, ils peuvent les faire faire sur mesure chez un grand couturier de l’Avenue Montaigne à condition d’y faire imprimer la cocarde et la devise :

« Tous Pourris »… !

 

couches

 Pour ceux et celles qui pensent que la pourriture n'existait pas avant la création de l'Euro, je les invite à visionner cette vidéo, la réponse est à la fin...!

 

4 avril 2013

Tous pourris… !

 

01

 

Sale temps pour nos politicos véreux, nos braves vertueux socialos nous demandent de nous serrer la ceinture (ça dépend laquelle?).

 

02

 

Alors que depuis fort longtemps nos élus (de tous bords politiques) s’en mettent plein les poches en cumulant plusieurs mandats, la promesse de MouHollande sur la fin des cumuls n’est pas à l’ordre du jour.

 

03

 

De plus en plus d’élus sont compromis dans des détournements de fric, d’enrichissements personnels, de conflits d’intérêt etc. Il serait temps que ces nantis soient dans l’obligation de justifier de l’utilisation de leurs frais de mandat.

 

04

 

En levant le voile, oh combien révélateur de la religion du fric, une mise à nu permettrait de voir, pour les messieurs ceux qui ont des couilles en or et pour les dames des tirelires bien pleines. J’admets que, confrontés à une mise à nu, tous nos élus ne seraient pas à leur avantage, car ressembler à Apollon ou Aphrodite n’est pas évident.

 

05

 

Quand on voit que seulement 4 ou 5 députés ont mis en ligne l’utilisation de l’IRFM (l'indemnité représentative pour frais de mandat) on est en droit de douter de leur bonne utilisation.

QUID :

06

 

Combien de fois nous avons entendu nos élus se plaindre sur la lourdeur de leur tâche, ce qui justifie leurs divers avantages.

 

07

 

(Caricature Plantu)

Il est vrai que pour s’enrichir, rien ne vaut un portefeuille ministériel.

 

08

 

(Caricature Péhel)

Malgré des preuves accablantes de tous les avantages qu’ils se sont octroyés,

 

09

 

nos politicos véreux osent nous faire croire qu’ils n’ont :

 

10

 

(Caricature Trez)

Je suis de plus en plus convaincu que si le ménage n’est pas fait dans les écuries des officines parlementaires on va trouver de plus en plus de citoyens qui adopteront la devise :

 

11

 

(Caricature Zan)

Hélas j’ai bien peur que ce ne soit qu’une utopie quand on connaît la résistance de nos parlementaires à bénéficier le plus longtemps possible des arrangements entre amis… !

 

12

 

(Caricature Honzen ?)

Je prends le pari que d’ici peu les Pompes Funèbres vont toucher une part de l’évasion fiscale… !

Nota Bene : Quand je pense que les « ami(e)s socialos qui fréquentaient mon blog tiraient à boulets rouges sur la droite, j’aimerai les entendre sur l’honnêteté des socialos cocos… !

De toute façon, ma conviction est faite :

TOUS POURRIS … !

Publicité
Publicité
Grains de sel
Publicité
Grains de sel
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 1 059 261
Publicité