Revue de détresse… !
Si je vous dis I.S.F, vous allez être très peu à me répondre :
- « J’en sais quelque chose vu que j’y suis assujetti ».
Depuis quelques jours nous avons appris que le président des édentés, rejoignait le club des heureux millionnaires. En effet il vient de se voir attribuer le gros lot mensuel qui vient de battre tous les records avec un peu plus de 3 500 000 chômeurs.
(Dessin Jacpé)
Nouvelle de ce tirage qu’aurait voulu éviter les affidés des joueurs socialistes, mais comme ça commençait à faire désordre, avant la deuxième chance au grattage on a assisté à une prise de parole tous azimuts des éminents professeurs de la promotion Diaforus, essayant de nous vendre leurs potions comme quoi, ce n’était qu’un mauvais moment à passer, que nous n’allions pas tarder à voir ce qu’on allait voir… ! En attendant vu leurs mines de constipé, je prends le pari qu’on est dans la « Merde » pour encore un bon bout de temps.
À moins qu’au prochain conseil des sinistres ils nous préparent du Feydau genre « On purge bébé » dans une nouvelle version :
On purge l’Élysée.
(Montage trouvé chez : La plume à gratter.)
Avec Follollande dans le rôle de Follavoine et pour celui de Julie je vous laisse deviner.
[…Ah ! laisse-moi donc tranquille ! je suis occupé, v’là tout !
Julie, Posant le seau qu’elle tient à la main…
- Occupé ! Monsieur est occupé ! C’est admirable !
- Oui, occupé ! (Apercevant le seau laissé par Julie.)
- Ah çà ! Tu es folle ? Tu m’apportes ton seau de toilette ici, à présent ?...]
Je vous laisse imaginer la suite, ne voulant pas être accusé de plagiat… !
Après l’église catholique, où en haut lieu dans les couloirs du Vatican il serait envisagé de revoir le célibat des prêtres.
(Caricature Jacpé)
C’est l’armée qui, à son tour est touchée (façon de parler… !) par des histoires de pédophilie (à vérifier, mais comme il n’y a pas de pipe sans feu… ?).
(Tableau de Magritte)
Lors de la libération de la France, les soldats Américains distribuaient des cigarettes aux adultes et des chewing-gums aux enfants. En Afrique il semblerait que faute de gomme à mâcher, ce seraient des bâtons de réglisse à sucer sur place qui auraient été proposés à des gamins. On est loin du temps où la troupe en campagne était suivie d’une cantinière chargée d’animer des soirées où en leur servant à boire ils chantaient :
« Quand Madelon vient nous servir à boire
Sous la tonnelle on frôle son jupon… ».
Même la « Veuve poignée », n’aurait pas été assez efficace à calmer des gardes à vous intempestifs qu’un bromure de contrebande n’avait pas réussi à remiser au fond des calcifs.
(Caricature Michel Iturria)
Vous allez voir que maintenant (après plusieurs mois que ces saloperies auraient été signalées) on va apprendre que la chanson La Madelon, créée par Bach (Charles-Joseph Pasquier) aurait été remplacée par : « Tiens voilà du boudin… ! ».
Après vous avoir parlé de bourses trop pleines, des villes italiennes envisagent d’instaurer un péage dans leurs zones touristiques pour renflouer les leurs… ! Après tout ils ne font que continuer ce que Vespasien avait imaginé : L’argent n’ayant pas d’odeur… !
Bercy devrait s’en inspirer et instaurer à titre d’exemple avec le risque de nous le fourguer sous une autre forme, un péage à tous les parlementaires chaque fois qu’ils franchissent les portes du Palais de Bourbon ou de l’hôtel de Lassay… !