24 août 2006
La colère, hélas ! Combien elle change une figure avenante ! [Fo-sho-hing-tsan-king]
« Une femme* en courroux est comme une fontaine troublée, fangeuse, sans transparence, sans pureté : elle perd toute sa beauté ; et, tant qu’elle est dans cet état de trouble, personne, dans l’excès même de la soif plus brûlante, ne daignera boire de son onde, ni seulement en approcher ses lèvres. » (Jules du Vernay)
*Toute ressemblance avec une blogueuse serait le fait du hasard !
Heureusement comme le disait Horace : «Ira furor brevis est » la colère, comme toute passion violente, est une aliénation mentale momentanée.
Elle n’est pas belle la vie ?
Elle nous file chaque jour entre les doigts.
Alors pourquoi se la compliquer, comme un de mes chats: restons COOL!
Nota Bene : Pour les féministes, la colère n’est pas l’apanage de la femme.
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